Dans le marché de fruits de Chagoua, dans le 7e arrondissement de N'Djamena, malgré la saison tardive des mangues, des monticules de fruits pourrissant jonchent le sol, abandonnés par les commerçants en raison de leur état de décomposition avancée.
Ce marché, principal fournisseur de fruits pour la capitale tchadienne, reçoit une variété de fruits des provinces, distribués par des détaillants équipés de brouettes.
Cependant, en cette période de fin de saison des mangues, il est consternant de constater autant de gaspillage. Les mangues sur-mûres se détériorent rapidement et sont souvent jetées faute de moyens pour les valoriser autrement.
Les mangues, acheminées jusqu'à Ndjamena en véhicules par les grossistes, sont sujettes à la chaleur et aux secousses de la route, ce qui accélère leur décomposition.
En raison de la lenteur des transactions sur le marché, elles ne peuvent être conservées plus de 5 à 6 jours, ce qui entraîne des pertes massives.
Les commerçants se plaignent de cette situation récurrente à chaque saison de fruits, affirmant que les pertes ne se limitent pas aux mangues, mais concernent également d'autres produits comme les goyaves, l'arachide, le maïs et les poids de terre.
Les pertes de mangues depuis le début de la saison sont estimées à plusieurs tonnes, ce qui représente une perte financière significative pour les commerçants. Ils appellent les autorités à établir une usine de transformation pour minimiser ces pertes et valoriser les fruits excédentaires.
Ce marché, principal fournisseur de fruits pour la capitale tchadienne, reçoit une variété de fruits des provinces, distribués par des détaillants équipés de brouettes.
Cependant, en cette période de fin de saison des mangues, il est consternant de constater autant de gaspillage. Les mangues sur-mûres se détériorent rapidement et sont souvent jetées faute de moyens pour les valoriser autrement.
Les mangues, acheminées jusqu'à Ndjamena en véhicules par les grossistes, sont sujettes à la chaleur et aux secousses de la route, ce qui accélère leur décomposition.
En raison de la lenteur des transactions sur le marché, elles ne peuvent être conservées plus de 5 à 6 jours, ce qui entraîne des pertes massives.
Les commerçants se plaignent de cette situation récurrente à chaque saison de fruits, affirmant que les pertes ne se limitent pas aux mangues, mais concernent également d'autres produits comme les goyaves, l'arachide, le maïs et les poids de terre.
Les pertes de mangues depuis le début de la saison sont estimées à plusieurs tonnes, ce qui représente une perte financière significative pour les commerçants. Ils appellent les autorités à établir une usine de transformation pour minimiser ces pertes et valoriser les fruits excédentaires.