En 2018, un arrêté du ministère de l'Environnement, de la Pêche et du Développement durable, interdisait le transport et la commercialisation du bois et du charbon de bois sauf le "bois mort gisant".
L'arrêté « a valablement contribué à freiner la déforestation et restaurer le couvert végétal », se félicite Hassan Bakhit Djamous, lors d'un point-presse ce matin à son bureau. « La coupe abusive de bois refait surface », au grand dam de l'environnement. Le ministère rappelle que l'arrêté reste valable.
Par conséquent, un délai d'une semaine est accordé à N'Djamena et de deux semaines aux autres villes, pour se conformer à la règle. Tout moyen aidant à transporter du bois ou du charbon sera systématiquement saisi, annonce Hassan Bakhit Djamous.
Il exhorte les autorités administratives, coutumières et la société civile à sensibiliser la population à cet effet.
L'arrêté « a valablement contribué à freiner la déforestation et restaurer le couvert végétal », se félicite Hassan Bakhit Djamous, lors d'un point-presse ce matin à son bureau. « La coupe abusive de bois refait surface », au grand dam de l'environnement. Le ministère rappelle que l'arrêté reste valable.
Par conséquent, un délai d'une semaine est accordé à N'Djamena et de deux semaines aux autres villes, pour se conformer à la règle. Tout moyen aidant à transporter du bois ou du charbon sera systématiquement saisi, annonce Hassan Bakhit Djamous.
Il exhorte les autorités administratives, coutumières et la société civile à sensibiliser la population à cet effet.