La question du partage d'électricité dans la ville d'Abéché dépend des quartiers où vivent des hauts cadres. Certains citoyens lambda préfèrent aller louer dans ces quartiers afin d'avoir le minimum de couverture énergétique.
"Je vis dans le quartier royal parce qu'il n'est pas loin de l'Université Adam Barka sinon j'allais habiter ailleurs. Nous recevons l'électricité parfois à 22 heures avant que ça ne coupe à minuit. Dans la journée, c'est deux fois par semaine", explique un étudiant.
Certains secteurs du même quartier reçoivent parfois l'électricité vers 18 heures en début de soirée et 7h30 en début de matinée. La couverture énergétique, jugée non équitable, interroge les citoyens.
Les lampadaires, alignés dans les rues bitumées du quartier Djatinié, sont rarement allumés. Conséquence : cela encourage l'insécurité car les bandits trainent dans ces axes pour arracher les téléphones des passants.
"Certains lampadaires sont juste là pour l'ornement afin de flatter les étrangers qui viennent mettre le pied dans la ville", ironise un enseignant.
Si vous rouler avec votre engin dans la nuit, en cas de panne des phares, il y a une forte probabilité de heurter un poteaux sans s'en rendre compte.
Les voies routières de la ville sont éclairées par des lampadaires installés par la mairie mais le patriotisme est quasiment absent. Ainsi, ces mêmes citoyens qui veulent que la ville sinon le pays soit comme les autres, volent les batteries de ces lampadaires payés avec leur argent.
Ces lampadaires permettent parfois, dans certains axes, aux étudiants de réviser leurs leçons. C'est aussi un facteur de sécurité pour ceux qui rentrent à la maison la nuit.
Au finish, il y a eu une grande avancée en matière de partage d'énergie même si la répartition est privilégiée dans certains quartiers de la ville. Beaucoup reste à faire afin que même le plus bas peuple puisse avoir accès à l'électricité.
Dans les prochains mois, il est probable que la question de l'énergie deviennent une vieille histoire à Abéché avec l'installation des panneaux solaires.
"Je vis dans le quartier royal parce qu'il n'est pas loin de l'Université Adam Barka sinon j'allais habiter ailleurs. Nous recevons l'électricité parfois à 22 heures avant que ça ne coupe à minuit. Dans la journée, c'est deux fois par semaine", explique un étudiant.
Certains secteurs du même quartier reçoivent parfois l'électricité vers 18 heures en début de soirée et 7h30 en début de matinée. La couverture énergétique, jugée non équitable, interroge les citoyens.
Les lampadaires, alignés dans les rues bitumées du quartier Djatinié, sont rarement allumés. Conséquence : cela encourage l'insécurité car les bandits trainent dans ces axes pour arracher les téléphones des passants.
"Certains lampadaires sont juste là pour l'ornement afin de flatter les étrangers qui viennent mettre le pied dans la ville", ironise un enseignant.
Si vous rouler avec votre engin dans la nuit, en cas de panne des phares, il y a une forte probabilité de heurter un poteaux sans s'en rendre compte.
Les voies routières de la ville sont éclairées par des lampadaires installés par la mairie mais le patriotisme est quasiment absent. Ainsi, ces mêmes citoyens qui veulent que la ville sinon le pays soit comme les autres, volent les batteries de ces lampadaires payés avec leur argent.
Ces lampadaires permettent parfois, dans certains axes, aux étudiants de réviser leurs leçons. C'est aussi un facteur de sécurité pour ceux qui rentrent à la maison la nuit.
Au finish, il y a eu une grande avancée en matière de partage d'énergie même si la répartition est privilégiée dans certains quartiers de la ville. Beaucoup reste à faire afin que même le plus bas peuple puisse avoir accès à l'électricité.
Dans les prochains mois, il est probable que la question de l'énergie deviennent une vieille histoire à Abéché avec l'installation des panneaux solaires.