« Ils ne nous écoutent pas, le 20 août nous irons vers le Palais de façon bienveillante et pacifique, afin de leur demander d'intégrer l'égalité et la justice. Et s'ils s’entêtent comme Pharaon dont le cœur a été endurci, nous serons en droit de créer un nouveau dialogue, un nouveau gouvernement, une nouvelle armée et chacun n'aura qu'à respecter le cadre juridique de l'autre », selon Dr Succès Masra, président dudit parti.
Pourtant, leur participation à ce grand rendez-vous donnera un cachet particulier. Car pour l'heure, le peuple compte sur un changement sans la violence. Rien ne semble pouvoir empêcher la tenue ce dialogue, même si le feu brûle de partout.
La position du gouvernement de transition semble claire, à entendre le ministre de la Sécurité publique, Idriss Dokony Adiker : « le chef de l'État m'a instruit de ne pas interdire les marches mais de prendre ma responsabilité pour les sécuriser ». Tout porte à croire que « les chiens aboient, la caravane passe ».
Le dialogue voulu hier par plusieurs Tchadiens risque de tourner au vinaigre. Au Tchad, la raison mafieuse est toujours la meilleure. Déjà que la communauté internationale pense que seul ce dialogue peut constituer une porte de sortie pour un nouveau Tchad. De ce fait, ceux qui pensent descendre dans la rue et ceux qui ne veulent pas participer doivent revoir leur position.
Il est mieux d'assister au dialogue et de laver les mains comme Ponce Pilate, au moment de la crucifixion de Jésus Christ, que de jouer à la politique de la chaise vide.
Pourtant, leur participation à ce grand rendez-vous donnera un cachet particulier. Car pour l'heure, le peuple compte sur un changement sans la violence. Rien ne semble pouvoir empêcher la tenue ce dialogue, même si le feu brûle de partout.
La position du gouvernement de transition semble claire, à entendre le ministre de la Sécurité publique, Idriss Dokony Adiker : « le chef de l'État m'a instruit de ne pas interdire les marches mais de prendre ma responsabilité pour les sécuriser ». Tout porte à croire que « les chiens aboient, la caravane passe ».
Le dialogue voulu hier par plusieurs Tchadiens risque de tourner au vinaigre. Au Tchad, la raison mafieuse est toujours la meilleure. Déjà que la communauté internationale pense que seul ce dialogue peut constituer une porte de sortie pour un nouveau Tchad. De ce fait, ceux qui pensent descendre dans la rue et ceux qui ne veulent pas participer doivent revoir leur position.
Il est mieux d'assister au dialogue et de laver les mains comme Ponce Pilate, au moment de la crucifixion de Jésus Christ, que de jouer à la politique de la chaise vide.