Pour le premier ministre Pahimi Padacké Albert, "le gouvernement de transition avait le droit, dans ses responsabilités gouvernementales, de désigner de façon discrétionnaire un comité d'organisation" et a "volontairement agi par la méthode participative permettant à toutes les sensibilités et corporations de s'auto-désigner au sein du comité d’organisation".
"L'arbitrage final ne peut satisfaire chacun et tout le monde, tant nos compatriotes souhaitent mettre la main à cette phase historique de notre pays. Et c'est plutôt une bonne chose", estime le chef du gouvernement.
Pahimi Padacké assure que la composition est équilibrée et juste : "ce qui est sûr et le plus souvent, lorsqu'un arbitrage ne satisfait aucune des partis, c'est la garantie que cet arbitrage est bon. Cet arbitrage est tellement équilibré et juste, que même certains compatriotes qui ont choisi de s'auto-exclure de ce processus ont été pris en compte dans ce comité. Ce choix est justifié pour garantir l'inclusivité du dialogue et mutualiser les riches expériences".
"L'arbitrage final ne peut satisfaire chacun et tout le monde, tant nos compatriotes souhaitent mettre la main à cette phase historique de notre pays. Et c'est plutôt une bonne chose", estime le chef du gouvernement.
Pahimi Padacké assure que la composition est équilibrée et juste : "ce qui est sûr et le plus souvent, lorsqu'un arbitrage ne satisfait aucune des partis, c'est la garantie que cet arbitrage est bon. Cet arbitrage est tellement équilibré et juste, que même certains compatriotes qui ont choisi de s'auto-exclure de ce processus ont été pris en compte dans ce comité. Ce choix est justifié pour garantir l'inclusivité du dialogue et mutualiser les riches expériences".