Effet, en date du 19 mai 2021, le président national du Parti Réformiste (P.R) et coordonnateur général du Front de l'Opposition Nouvelle pour l'Alternance et le Changement (FONAC), a été arrêté par le chef de poste de la police de proximité de Dembé, Mahamat Abass, pour avoir pris part à la marche pacifique qui a été organisée par Wakit Tamma. Selon lui, après son arrestation, il a été conduit au rond-point de Dembé et remis aux policiers dont il ignore complètement leurs identités. Ces derniers l'ont amené dans un endroit inconnu pour le torturer sauvagement, comme un délinquant. Après cela, il a été jeté au commissariat de CSP12 au quartier Ouaroula.
Suite à ces évènements, une plainte a été adressée au procureur de la République contre le policier Mahamat Abass. Conformément à la procédure, le procureur de la République a orienté le dossier à la DNRJ, pour les enquêtes préliminaires. Puis, plusieurs convocations ont été envoyées au policier qui a refusé catégoriquement de comparaître devant la DNRJ. Il refuse de se soumettre à la justice tchadienne, dit Abderrahmane Yassine Sakine. En dépit de ses observations, plusieurs questions méritant des réponses claires et nettes, de la part du procureur de la République taraudent l'esprit, a-t-il précisé. Le policier Mahamat Abass est-il un Tchadien différent des autres ? Le policier Mahamat Abass est-il au-dessus de la loi suprême de la République ? Les policiers sont-ils protégés par la loi en cas de violation flagrante des droits de l'homme ?
Il a lancé un appel spécial au gouvernement de transition, notamment au ministère de la Justice et des Droits de l'Homme, d'imposer la loi à tous, sans exception. Car tous les Tchadiens sont égaux devant la loi de la République. En effet, pour bâtir un État de droit constitué des Tchadiens unis et réconciliés, les hautes autorités de ce pays doivent veiller sincèrement à l'applicabilité des lois sans exception. Une attention soutenue doit-être portée à l'amélioration et à l'efficacité de l'appareil judiciaire, tout en procédant à des réformes audacieuses et en exploitant toutes les pistes qui rendront les magistrats moins vulnérables à la tentation et aux pressions. Il a ajouté que l'indépendance et l'impartialité de la justice sont des attributs du système démocratique.
L'appareil judiciaire du Tchad doit garantir l'égalité à tous les citoyens, quel que soit leur statut social. Il doit aussi contraindre ceux qui transgressent les règles et protéger ceux qui les respectent. Le président du Parti Réformiste a terminé ses propos par des remerciements. Pour l'avocate chargée du dossier, Me Vetada Atchenemou, peu importe la qualité de Mahamat Abass, l’on ne baissera jamais les bras. Car le mis en cause sera traqué, jusqu'à ce que justice soit faite. Des recommandations ont été faites à l'égard des hautes autorités et celles de l'organe judiciaire.
Suite à ces évènements, une plainte a été adressée au procureur de la République contre le policier Mahamat Abass. Conformément à la procédure, le procureur de la République a orienté le dossier à la DNRJ, pour les enquêtes préliminaires. Puis, plusieurs convocations ont été envoyées au policier qui a refusé catégoriquement de comparaître devant la DNRJ. Il refuse de se soumettre à la justice tchadienne, dit Abderrahmane Yassine Sakine. En dépit de ses observations, plusieurs questions méritant des réponses claires et nettes, de la part du procureur de la République taraudent l'esprit, a-t-il précisé. Le policier Mahamat Abass est-il un Tchadien différent des autres ? Le policier Mahamat Abass est-il au-dessus de la loi suprême de la République ? Les policiers sont-ils protégés par la loi en cas de violation flagrante des droits de l'homme ?
Il a lancé un appel spécial au gouvernement de transition, notamment au ministère de la Justice et des Droits de l'Homme, d'imposer la loi à tous, sans exception. Car tous les Tchadiens sont égaux devant la loi de la République. En effet, pour bâtir un État de droit constitué des Tchadiens unis et réconciliés, les hautes autorités de ce pays doivent veiller sincèrement à l'applicabilité des lois sans exception. Une attention soutenue doit-être portée à l'amélioration et à l'efficacité de l'appareil judiciaire, tout en procédant à des réformes audacieuses et en exploitant toutes les pistes qui rendront les magistrats moins vulnérables à la tentation et aux pressions. Il a ajouté que l'indépendance et l'impartialité de la justice sont des attributs du système démocratique.
L'appareil judiciaire du Tchad doit garantir l'égalité à tous les citoyens, quel que soit leur statut social. Il doit aussi contraindre ceux qui transgressent les règles et protéger ceux qui les respectent. Le président du Parti Réformiste a terminé ses propos par des remerciements. Pour l'avocate chargée du dossier, Me Vetada Atchenemou, peu importe la qualité de Mahamat Abass, l’on ne baissera jamais les bras. Car le mis en cause sera traqué, jusqu'à ce que justice soit faite. Des recommandations ont été faites à l'égard des hautes autorités et celles de l'organe judiciaire.