Depuis des décennies, la ville de Mao fait face à des catastrophes naturelles liées aux fortes intempéries pluvieuses, entrainant notamment la formation de sillons par les eaux de ruissellement (le ravinement).
L'année dernière, un chantier de voiries urbaines a été lancé par l'entreprise chinois CGCOC mais n'a pas pu être finalisé.
Dans la ville, du quartier Moto en passant par Tchoulori jusqu'à Lakouss, le constat est le même. Des ménages ont perdu leur habitation voire même leur terrain. Les sinistrés demandent aux autorités de redémarrer le projet de voiries urbaines qui est à l'arrêt.
Le préfet de la province du Kanem, Brahim Alifa Ali, en présence des autorités communales, a fait une descente pour constater les dégâts qui ont été enregistrés suite aux inondations la semaine dernière dans la ville de Mao.
L'année dernière, un chantier de voiries urbaines a été lancé par l'entreprise chinois CGCOC mais n'a pas pu être finalisé.
Dans la ville, du quartier Moto en passant par Tchoulori jusqu'à Lakouss, le constat est le même. Des ménages ont perdu leur habitation voire même leur terrain. Les sinistrés demandent aux autorités de redémarrer le projet de voiries urbaines qui est à l'arrêt.
Le préfet de la province du Kanem, Brahim Alifa Ali, en présence des autorités communales, a fait une descente pour constater les dégâts qui ont été enregistrés suite aux inondations la semaine dernière dans la ville de Mao.