Au Tchad, les terres arables sont estimées à 39 millions d’hectares, soit 30% du territoire national. L’élevage, à l’image de l’agriculture, est une importante richesse au regard de la dimension du cheptel national. En effet, le Tchad est une terre d’élevage par excellence. Le cheptel compte plus de 100 millions de têtes de bétail.
De même, la pêche constitue également une précieuse richesse à mettre en valeur dans la perspective du développement car les ressources halieutiques sont importantes. Les lacs, les fleuves et les nombreux cours d’eau qui traversent le pays sont des biotopes de prédilection des poissons de diverses espèces.
D'après le chef de l'Etat tchadien, "si les Gouvernements donnent aujourd’hui le ton de cette lutte vitale pour nos populations, il revient au secteur privé de se mettre en première ligne et de déployer toute sa force productive et son dynamisme à toute épreuve."
Il explique que "la transformation des chaines de valeurs et leur avantage concurrentiel que nous appelons tous de nos vœux, commandent une nouvelle dynamique de partenariat stratégique entre tous les acteurs intervenant dans les activités de production, de transformation et de commercialisation des produits agricoles."
60% de la population active dans l'agriculture
Le ministre de l’Agriculture et des Aménagements hydro-agricoles du Burkina-Faso, Salifou Ouédraogo, ministre coordonateur du CILSS a, pour sa part déclaré que l’Agriculture occupe une place de choix dans les économies nationales africaines. Elle contribue à environ 35% au produit intérieur brut et occupe plus de 60% de la population active. Cependant, elle demeure en proie à des défis climatiques économiques et sécuritaires.
A travers le Salon africain de l'agriculture -initié par le secrétaire exécutif du CILSS, Dr Djimé Adoum- qui s'est ouvert ce mardi 12 mars à N'Djamena, le Tchad réaffirme son engagement à contribuer à l’agenda continental à l’horizon 2063 à travers le Programme détaillé pour le développement de l’Agriculture (PDDAA).
De même, la pêche constitue également une précieuse richesse à mettre en valeur dans la perspective du développement car les ressources halieutiques sont importantes. Les lacs, les fleuves et les nombreux cours d’eau qui traversent le pays sont des biotopes de prédilection des poissons de diverses espèces.
D'après le chef de l'Etat tchadien, "si les Gouvernements donnent aujourd’hui le ton de cette lutte vitale pour nos populations, il revient au secteur privé de se mettre en première ligne et de déployer toute sa force productive et son dynamisme à toute épreuve."
Il explique que "la transformation des chaines de valeurs et leur avantage concurrentiel que nous appelons tous de nos vœux, commandent une nouvelle dynamique de partenariat stratégique entre tous les acteurs intervenant dans les activités de production, de transformation et de commercialisation des produits agricoles."
60% de la population active dans l'agriculture
Le ministre de l’Agriculture et des Aménagements hydro-agricoles du Burkina-Faso, Salifou Ouédraogo, ministre coordonateur du CILSS a, pour sa part déclaré que l’Agriculture occupe une place de choix dans les économies nationales africaines. Elle contribue à environ 35% au produit intérieur brut et occupe plus de 60% de la population active. Cependant, elle demeure en proie à des défis climatiques économiques et sécuritaires.
A travers le Salon africain de l'agriculture -initié par le secrétaire exécutif du CILSS, Dr Djimé Adoum- qui s'est ouvert ce mardi 12 mars à N'Djamena, le Tchad réaffirme son engagement à contribuer à l’agenda continental à l’horizon 2063 à travers le Programme détaillé pour le développement de l’Agriculture (PDDAA).
Le paradoxe des importations alimentaires
Chiffres à l’appui, le président de la Commission de l'UA, Moussa Faki Mahamat soutient que « l’Afrique dépense annuellement 35 milliards de dollars pour financer des importations alimentaires. En 2025, ce montant devrait atteindre 110 milliards de dollars ». D'après lui, « Nous sommes clairement ici, en face d’un paradoxe ».
Toutefois, le président de la Commission de l’UA, se dit optimiste car, « l’Afrique dispose de 600 millions de terres arables non cultivés, ainsi que d’une main d’œuvre jeune et dynamique. A cela s’ajoute la diversité de son écosystème qui permet la culture d’une grande variété de produits agricoles ».
Chiffres à l’appui, le président de la Commission de l'UA, Moussa Faki Mahamat soutient que « l’Afrique dépense annuellement 35 milliards de dollars pour financer des importations alimentaires. En 2025, ce montant devrait atteindre 110 milliards de dollars ». D'après lui, « Nous sommes clairement ici, en face d’un paradoxe ».
Toutefois, le président de la Commission de l’UA, se dit optimiste car, « l’Afrique dispose de 600 millions de terres arables non cultivés, ainsi que d’une main d’œuvre jeune et dynamique. A cela s’ajoute la diversité de son écosystème qui permet la culture d’une grande variété de produits agricoles ».