Le Collectif des agents communaux licenciés de la mairie de Ndjamena informe l’opinion nationale et internationale de l’échec de la tentative de conciliation entre la mairie de Ndjamena et ses 257 ex-employés, conformément à l’ordonnance signée par le premier président de la Cour suprême. Le Collectif rappelle que l'article 1er de ladite ordonnance stipule que : « il est mis en place une commission chargée du règlement du litige entre la mairie de Ndjamena et ses 257 ex-employés ».
Selon le Collectif, la commission a pour mission d'écouter, rapprocher les parties et trouver une solution favorable à toutes les deux parties. Car une réconciliation suppose l’accord des parties. Dès lors, on ne peut en aucun cas imposer des solutions aux parties ou de faire un nouveau jugement sur des nouvelles pièces. Par ce document, le Collectif tient à informer l'opinion qu’après leurs deux rencontres avec le responsable de la mairie, en présence du président de la commission, l’on n’est pas parvenu à un accord, Sachant que certains agents sont recrutés par l'actuel maire Ali Haroun, lors de son passage à la mairie en 2016 et maintenant, il s'oppose à leur réhabilitation collective.
Pour le maire Ali Haroun, il est question de procéder aux réhabilitions partielles, et la priorité sera accordée aux 144 agents, ce qui a été rejeté par les représentants des 257 agents suspendus à l'époque de Saleh Abdel-Aziz Damane. Pour les représentants les 257 agents, dans cette affaire, la mairie n’a fait qu’exécuter les ordres de l'inspection générale d'Etat. S'il y a suspension, elle concerne tout le monde. Et même s'il y a licenciement, il doit aussi concerner tout le monde. Il en est de même de la réhabilitation qui doit aussi concerner tout le monde, car il n’est pas question de procéder à une réhabilitation partielle.
Sur les 257 agents suspendus, 8 agents sont réhabilités par la mairie, y compris ceux qui ont perçu les droits sociaux, d'autres sont réhabilités sur instruction de l'inspection générale d'Etat. Certains ont signé des nouveaux contrats avec la mairie, alors que le dossier est en instance de délibérer à la Cour suprême. Pour l'IGE, il s'agit d'une suspension pour motif « hors budget » et pour la mairie, il s'agit d'un licenciement pour motif économique. Les représentants des 257 agents qualifient cet acte d'un règlement de compte entre les maires. La procédure de réconciliation n’a pas abouti avec les ex-employés et le principe de parallélisme de forme en droit voudrait que cet échec de tentative de réconciliation soit matérialisé par un procès-verbal.
Le Collectif accorde un délai d’une semaine, pour la régularisation de sa situation à compter de 24 au 31 août 2021. Passé ce délai, il sera dans l’obligation de faire un sit-in devant la mairie centrale, du 1er au 3 septembre 2021, jusqu’à la satisfaction totale de sa revendication. Enfin, le Collectif demande aux plus hautes autorités du pays, y compris le CMT, de s’impliquer davantage afin que le premier président de la Cour suprême rende son arrêt.
Selon le Collectif, la commission a pour mission d'écouter, rapprocher les parties et trouver une solution favorable à toutes les deux parties. Car une réconciliation suppose l’accord des parties. Dès lors, on ne peut en aucun cas imposer des solutions aux parties ou de faire un nouveau jugement sur des nouvelles pièces. Par ce document, le Collectif tient à informer l'opinion qu’après leurs deux rencontres avec le responsable de la mairie, en présence du président de la commission, l’on n’est pas parvenu à un accord, Sachant que certains agents sont recrutés par l'actuel maire Ali Haroun, lors de son passage à la mairie en 2016 et maintenant, il s'oppose à leur réhabilitation collective.
Pour le maire Ali Haroun, il est question de procéder aux réhabilitions partielles, et la priorité sera accordée aux 144 agents, ce qui a été rejeté par les représentants des 257 agents suspendus à l'époque de Saleh Abdel-Aziz Damane. Pour les représentants les 257 agents, dans cette affaire, la mairie n’a fait qu’exécuter les ordres de l'inspection générale d'Etat. S'il y a suspension, elle concerne tout le monde. Et même s'il y a licenciement, il doit aussi concerner tout le monde. Il en est de même de la réhabilitation qui doit aussi concerner tout le monde, car il n’est pas question de procéder à une réhabilitation partielle.
Sur les 257 agents suspendus, 8 agents sont réhabilités par la mairie, y compris ceux qui ont perçu les droits sociaux, d'autres sont réhabilités sur instruction de l'inspection générale d'Etat. Certains ont signé des nouveaux contrats avec la mairie, alors que le dossier est en instance de délibérer à la Cour suprême. Pour l'IGE, il s'agit d'une suspension pour motif « hors budget » et pour la mairie, il s'agit d'un licenciement pour motif économique. Les représentants des 257 agents qualifient cet acte d'un règlement de compte entre les maires. La procédure de réconciliation n’a pas abouti avec les ex-employés et le principe de parallélisme de forme en droit voudrait que cet échec de tentative de réconciliation soit matérialisé par un procès-verbal.
Le Collectif accorde un délai d’une semaine, pour la régularisation de sa situation à compter de 24 au 31 août 2021. Passé ce délai, il sera dans l’obligation de faire un sit-in devant la mairie centrale, du 1er au 3 septembre 2021, jusqu’à la satisfaction totale de sa revendication. Enfin, le Collectif demande aux plus hautes autorités du pays, y compris le CMT, de s’impliquer davantage afin que le premier président de la Cour suprême rende son arrêt.