Du marché en passant par les maisons de culte, du campus en passant par les amphithéâtres et salles de classe, des couloirs en passant par les bureaux, tout le monde jette constamment un coup d’œil sur son smartphone.
Les activités effectuées varient : visionner des statuts/stories, parcourir des publications et commentaires sur les différents réseaux sociaux, regarder des identifications et notifications, aimer, commenter et partager ce qui semble utile sur les murs ou blogs. Telles sont les préoccupations des Internautes tchadiens.
Certes, Internet est devenu aujourd'hui un atout au point grâce auquel l’on n'a même pas besoin de se déplacer pour rendre condoléances, dire un aurevoir ou encore souhaiter un joyeux anniversaire à un ami ou une connaissance.
Cela est valable pour celui/celle qui vous met sur son statut/stories, et c’est irréversible.
Les Hommes, les filles, les garçons, les élèves, les étudiants, les enseignants ainsi que les administrateurs sont pris dans la spirale. Certains ne peuvent passer une heure sans se connecter quelque soit leur préoccupation.
Il est vrai que les réseaux sociaux sont des moyens de communication à distance par excellence. Par contre, leur usage doit être impérativement positif pour le bien-être social.
Malheureusement, l'on constate que des messages de haine des uns envers d'autres, l'accroissement de la xénophobie, des fausses informations, des injures et des atteintes aux personnalités pour des raisons inconnues ; c'est en partie ce qu'on relève sur les fils d'actualités des internautes tchadiens.
Il est souhaitable que les élèves et étudiants usent des outils de communication pour leurs recherches, travaux, s’auto-éduquer, développer leurs esprits intellectuellement (par le biais des moteurs de recherche et/ou media sociaux) afin de casser les plumes à la haine, la rancune, l'humiliation, le racisme, la ségrégation de nos fils d’actualités.
Le gouvernement, les opérateurs de téléphonie mobile et d'autres acteurs sont vivement sollicités à s'impliquer davantage contre les messages de haine et de division sur les réseaux sociaux.
Les activités effectuées varient : visionner des statuts/stories, parcourir des publications et commentaires sur les différents réseaux sociaux, regarder des identifications et notifications, aimer, commenter et partager ce qui semble utile sur les murs ou blogs. Telles sont les préoccupations des Internautes tchadiens.
Certes, Internet est devenu aujourd'hui un atout au point grâce auquel l’on n'a même pas besoin de se déplacer pour rendre condoléances, dire un aurevoir ou encore souhaiter un joyeux anniversaire à un ami ou une connaissance.
Cela est valable pour celui/celle qui vous met sur son statut/stories, et c’est irréversible.
Les Hommes, les filles, les garçons, les élèves, les étudiants, les enseignants ainsi que les administrateurs sont pris dans la spirale. Certains ne peuvent passer une heure sans se connecter quelque soit leur préoccupation.
Il est vrai que les réseaux sociaux sont des moyens de communication à distance par excellence. Par contre, leur usage doit être impérativement positif pour le bien-être social.
Malheureusement, l'on constate que des messages de haine des uns envers d'autres, l'accroissement de la xénophobie, des fausses informations, des injures et des atteintes aux personnalités pour des raisons inconnues ; c'est en partie ce qu'on relève sur les fils d'actualités des internautes tchadiens.
Il est souhaitable que les élèves et étudiants usent des outils de communication pour leurs recherches, travaux, s’auto-éduquer, développer leurs esprits intellectuellement (par le biais des moteurs de recherche et/ou media sociaux) afin de casser les plumes à la haine, la rancune, l'humiliation, le racisme, la ségrégation de nos fils d’actualités.
Le gouvernement, les opérateurs de téléphonie mobile et d'autres acteurs sont vivement sollicités à s'impliquer davantage contre les messages de haine et de division sur les réseaux sociaux.