Ils ont exprimé leur préoccupation quant à la privation des boutiques de leurs clients au profit d'autres commerçants extérieurs. Les avocats ont appelé à l'implication du président de la République pour permettre à chaque déguerpis de retrouver sa boutique.
Maître Idriss Mahamat Hassan, lors de sa déclaration, a rappelé que les commerçants avaient été déguerpis en 1992 par la mairie centrale sans aucune mesure d'accompagnement. L'espace avait ensuite été attribué à une association qui a refusé d'exploiter le site. Face à cette injustice, plusieurs démarches ont été entreprises auprès des autorités compétentes, et des instructions fermes ont été données pour reloger les commerçants déguerpis. Cependant, la mairie a exigé et obtenu une somme colossale de 300 millions de francs CFA pour attribuer le marché de Djaborona après le paiement de cette somme.
Plusieurs maires se sont succédé à la tête de la mairie centrale et tous ont convenu de permettre aux commerçants déguerpis de reprendre leurs boutiques sur le marché de Dembé. Un nivellement du site a été effectué grâce à la contribution financière de ces derniers. Alors que les clients s'organisent pour réorganiser leur plan d'occupation du site afin d'éviter tout conflit entre eux, ils ont appris la nomination du Maire Ali Haroun, qui a ensuite “tourné le dos aux victimes” pour nouer des relations avec d'autres personnes riches et inconnues sur le marché. Malgré les démarches entreprises par les déguerpis pour ramener le maire à la raison, ce dernier, en complicité avec certains agents véreux de la mairie, a attribué le site à d'autres personnes sans aucun lien historique avec le marché.
Les avocats déclarent que les mêmes personnes véreuses qui ont influencé l'ancien maire continuent de manipuler Madame le Maire dans le but de servir leurs intérêts personnels au détriment des intérêts des déguerpis. Madame le Maire a formé une commission composée uniquement d'agents municipaux, sans inclure un seul commerçant déguerpi du marché de Dembé, dans le but de reprendre les travaux.
En tant que représentants des commerçants déguerpis du marché de Dembé, les avocats ont demandé à Madame le Maire de la commune de N'Djamena de cesser de cautionner cette injustice. Ils ont conclu en appelant à une intervention pour garantir les droits des déguerpis et préserver la justice dans cette affaire.
Maître Idriss Mahamat Hassan, lors de sa déclaration, a rappelé que les commerçants avaient été déguerpis en 1992 par la mairie centrale sans aucune mesure d'accompagnement. L'espace avait ensuite été attribué à une association qui a refusé d'exploiter le site. Face à cette injustice, plusieurs démarches ont été entreprises auprès des autorités compétentes, et des instructions fermes ont été données pour reloger les commerçants déguerpis. Cependant, la mairie a exigé et obtenu une somme colossale de 300 millions de francs CFA pour attribuer le marché de Djaborona après le paiement de cette somme.
Plusieurs maires se sont succédé à la tête de la mairie centrale et tous ont convenu de permettre aux commerçants déguerpis de reprendre leurs boutiques sur le marché de Dembé. Un nivellement du site a été effectué grâce à la contribution financière de ces derniers. Alors que les clients s'organisent pour réorganiser leur plan d'occupation du site afin d'éviter tout conflit entre eux, ils ont appris la nomination du Maire Ali Haroun, qui a ensuite “tourné le dos aux victimes” pour nouer des relations avec d'autres personnes riches et inconnues sur le marché. Malgré les démarches entreprises par les déguerpis pour ramener le maire à la raison, ce dernier, en complicité avec certains agents véreux de la mairie, a attribué le site à d'autres personnes sans aucun lien historique avec le marché.
Les avocats déclarent que les mêmes personnes véreuses qui ont influencé l'ancien maire continuent de manipuler Madame le Maire dans le but de servir leurs intérêts personnels au détriment des intérêts des déguerpis. Madame le Maire a formé une commission composée uniquement d'agents municipaux, sans inclure un seul commerçant déguerpi du marché de Dembé, dans le but de reprendre les travaux.
En tant que représentants des commerçants déguerpis du marché de Dembé, les avocats ont demandé à Madame le Maire de la commune de N'Djamena de cesser de cautionner cette injustice. Ils ont conclu en appelant à une intervention pour garantir les droits des déguerpis et préserver la justice dans cette affaire.