L'objectif de cette rencontre était de discuter de l'amélioration des conditions de travail et de vie des enseignants vacataires et contractuels des écoles privées. Lors de son discours, le président de l'association des fondateurs d'établissements privés laïcs du Tchad, Koumo Gopina Andreas, a recommandé au syndicat d'organiser une réunion générale avec ses membres afin de trouver des solutions pour améliorer les conditions de vie des enseignants vacataires et contractuels des établissements privés lors des prochaines rencontres.
Le secrétaire général de l'association, M. Aloka, a également conseillé aux membres du syndicat de ne pas accepter des contrats qui proposent un salaire trop bas pour couvrir leurs besoins essentiels, car cela pourrait compromettre leur lutte. Il a ajouté qu'il était essentiel de s'assurer que les personnes qui ne sont pas enseignantes de métier ne se proclament pas responsables du syndicat. Il a souligné que tout commence par le contrat de travail et que cette question devrait être examinée de près pour mener à bien la lutte.
Le secrétaire général du syndicat, Julien, a déclaré que ceux qui avaient dirigé des mouvements similaires par le passé avaient principalement lutté pour leur propre intégration dans la fonction publique et non pour l'intérêt général. Aloka a poursuivi en affirmant qu'il était nécessaire de travailler en collaboration avec le gouvernement pour harmoniser les taux de rémunération dans tous les établissements afin d'améliorer les conditions de travail des enseignants contractuels, malgré les lacunes de l'État. Il a également souligné qu'il était important de collaborer avec le gouvernement et les partenaires pour améliorer les conditions de travail et de vie des enseignants contractuels dans les écoles privées.
À la fin de la réunion, il a été constaté que certains fondateurs d'établissements privés privilégient la médiocrité en maintenant des enseignants contractuels qui ne sont pas qualifiés, simplement parce qu'ils coûtent moins cher.
Le secrétaire général de l'association, M. Aloka, a également conseillé aux membres du syndicat de ne pas accepter des contrats qui proposent un salaire trop bas pour couvrir leurs besoins essentiels, car cela pourrait compromettre leur lutte. Il a ajouté qu'il était essentiel de s'assurer que les personnes qui ne sont pas enseignantes de métier ne se proclament pas responsables du syndicat. Il a souligné que tout commence par le contrat de travail et que cette question devrait être examinée de près pour mener à bien la lutte.
Le secrétaire général du syndicat, Julien, a déclaré que ceux qui avaient dirigé des mouvements similaires par le passé avaient principalement lutté pour leur propre intégration dans la fonction publique et non pour l'intérêt général. Aloka a poursuivi en affirmant qu'il était nécessaire de travailler en collaboration avec le gouvernement pour harmoniser les taux de rémunération dans tous les établissements afin d'améliorer les conditions de travail des enseignants contractuels, malgré les lacunes de l'État. Il a également souligné qu'il était important de collaborer avec le gouvernement et les partenaires pour améliorer les conditions de travail et de vie des enseignants contractuels dans les écoles privées.
À la fin de la réunion, il a été constaté que certains fondateurs d'établissements privés privilégient la médiocrité en maintenant des enseignants contractuels qui ne sont pas qualifiés, simplement parce qu'ils coûtent moins cher.