À l'issue des discussions, les participantes ont formulé plusieurs recommandations à l'attention des acteurs politiques, des partenaires internationaux, des acteurs non étatiques et de la société civile.
Les femmes médiatrices insistent sur la nécessité de mettre en œuvre intégralement les accords de paix, notamment le programme DDR et la création d'une Commission Vérité, Justice et Réconciliation. Ces mesures sont essentielles pour restaurer la confiance entre les différentes parties prenantes et bâtir un avenir commun.
Elles plaident pour un dialogue inclusif avec tous les acteurs politiques, y compris les exilés politiques et les mouvements politico-militaires non signataires de l'accord de Doha. Cette approche est indispensable pour parvenir à une réconciliation durable.
Les femmes médiatrices proposent de renforcer les institutions chargées de la réconciliation, comme la Médiature de la République et le ministère de la Réconciliation Nationale. Ces institutions jouent un rôle crucial dans la mise en œuvre des accords de paix.
Les recommandations soulignent l'importance du rôle des femmes dans les processus de paix et de réconciliation. Les femmes médiatrices demandent à être davantage associées à la prise de décision et à la mise en œuvre des politiques publiques.
Les objectifs spécifiques de cet atelier étaient de faire connaître le contenu des accords de paix, d'analyser leur processus et leurs termes, de proposer des actions pour leur mise en œuvre, et de définir le rôle des organisations de la société civile et des femmes dans la promotion de ces accords.
Les recommandations formulées par la Coalition des Femmes Médiatrices pour la Paix Durable au Tchad à l'issue de leur atelier sont à saluer. Elles témoignent d'une profonde compréhension des enjeux de la réconciliation nationale et d'une volonté de contribuer activement à la construction d'un Tchad pacifique et stable.
Les femmes médiatrices insistent sur la nécessité de mettre en œuvre intégralement les accords de paix, notamment le programme DDR et la création d'une Commission Vérité, Justice et Réconciliation. Ces mesures sont essentielles pour restaurer la confiance entre les différentes parties prenantes et bâtir un avenir commun.
Elles plaident pour un dialogue inclusif avec tous les acteurs politiques, y compris les exilés politiques et les mouvements politico-militaires non signataires de l'accord de Doha. Cette approche est indispensable pour parvenir à une réconciliation durable.
Les femmes médiatrices proposent de renforcer les institutions chargées de la réconciliation, comme la Médiature de la République et le ministère de la Réconciliation Nationale. Ces institutions jouent un rôle crucial dans la mise en œuvre des accords de paix.
Les recommandations soulignent l'importance du rôle des femmes dans les processus de paix et de réconciliation. Les femmes médiatrices demandent à être davantage associées à la prise de décision et à la mise en œuvre des politiques publiques.
Les objectifs spécifiques de cet atelier étaient de faire connaître le contenu des accords de paix, d'analyser leur processus et leurs termes, de proposer des actions pour leur mise en œuvre, et de définir le rôle des organisations de la société civile et des femmes dans la promotion de ces accords.
Les recommandations formulées par la Coalition des Femmes Médiatrices pour la Paix Durable au Tchad à l'issue de leur atelier sont à saluer. Elles témoignent d'une profonde compréhension des enjeux de la réconciliation nationale et d'une volonté de contribuer activement à la construction d'un Tchad pacifique et stable.