Tous les participants, assis sur des nattes, ont suivi avec attention les différentes explications.
Le secrétaire général de l'église évangélique du Tchad, pasteur Chandon Boniface, a expliqué que la fête de Noël n'est pas d'origine chrétienne. "C'est une fête païenne, précisément la fête du soleil".
"Entre-temps, les gens fêtent chaque mois de décembre pour dire que la lumière du soleil nous protège. Les paysans passaient leur temps à danser toute la nuit. C'est ainsi que les leaders chrétiens ont décidé par consensus de veiller à l'église (...) Sinon, Jésus n'est pas né le 25 décembre", a-t-il détaillé.
"Nous partageons la même foi en Dieu, que ça soit chrétien ou musulman, seulement la compréhension diffère", a complété Père Abbé Bruno Nadji.
Pour le secrétaire général adjoint du Conseil supérieur des affaires islamiques, section de la Tandjile Ouest, Oumar Ali, tout musulman qui ne croit pas en Jésus n'est pas musulman et aucun musulman ne doit interdire à un chrétien de célébrer cette fête, même si elle est d'origine païenne.
C'est autour d'un repas de fraternité, partagé en groupe, que la rencontre a pris fin. Cette initiative a été rendue possible grâce à l'appui du Comité de suivi de l'appel à la paix et à la reconstruction CSAPR et de l'APAD, dans leur projet de renforcement de résilience entre les leaders des communautés à Kelo.
Le secrétaire général de l'église évangélique du Tchad, pasteur Chandon Boniface, a expliqué que la fête de Noël n'est pas d'origine chrétienne. "C'est une fête païenne, précisément la fête du soleil".
"Entre-temps, les gens fêtent chaque mois de décembre pour dire que la lumière du soleil nous protège. Les paysans passaient leur temps à danser toute la nuit. C'est ainsi que les leaders chrétiens ont décidé par consensus de veiller à l'église (...) Sinon, Jésus n'est pas né le 25 décembre", a-t-il détaillé.
"Nous partageons la même foi en Dieu, que ça soit chrétien ou musulman, seulement la compréhension diffère", a complété Père Abbé Bruno Nadji.
Pour le secrétaire général adjoint du Conseil supérieur des affaires islamiques, section de la Tandjile Ouest, Oumar Ali, tout musulman qui ne croit pas en Jésus n'est pas musulman et aucun musulman ne doit interdire à un chrétien de célébrer cette fête, même si elle est d'origine païenne.
C'est autour d'un repas de fraternité, partagé en groupe, que la rencontre a pris fin. Cette initiative a été rendue possible grâce à l'appui du Comité de suivi de l'appel à la paix et à la reconstruction CSAPR et de l'APAD, dans leur projet de renforcement de résilience entre les leaders des communautés à Kelo.