À Ndjamena, la viande occupe une place de choix dans les habitudes alimentaires. Malheureusement, le transport de la viande, de l’abattoir aux différents points de vente se fait sur des motocyclettes, ou encore dans les porte-tout. Une pratique très peu hygiénique, de la poussière, aux mouches et microbe.
Pourtant, le transport de viande est une activité réglementée, du fait que si cette étape n’est pas réalisée dans de bonnes conditions, elle peut être une source de dégradation et de contamination par des bactéries diverses. Mais, force est de contacter que le transport de la viande se fait sur des motocyclettes et des voitures non frigorifiées ou des fois à vélo.
Au fait, l’étape du transport de l’abattoir aux points de vente constitue un véritable casse-tête. L'abattoir ne dispose pas de moyens de transport suffisant pour satisfaire la clientèle, une situation qui oblige les intervenants à transporter, avec les moyens qui sont les leurs, sans aucune disposition hygiénique.
Mamadou, un boucher au quartier Ridina dans le 5e arrondissement confirme : « Nous n'avons pas d’autre choix que de transporter la viande sur les motos, afin de satisfaire la clientèle. Il faut que la viande soit livrée avant 7h pour nettoyer », souligne-t-il.
Pour Alhadj Mahamat, consommateur habitant le quartier Dembé, dans le 7e arrondissement, « la viande est transportée à bord des motos sans aucune protection, car livrée au vent, à la poussière et aux fumées noires dégagées par les vieux muni bus. Pourtant, le transport de la viande doit être assuré dans les meilleures conditions de sécurité sanitaire.
C'est un problème de distribution qui semble négligé, l’étape du transport de l’abattoir aux points doit être surveillée par l’inspection vétérinaire. L’Etat est le garant de la sécurité sanitaire des aliments de la population. C’est dans les cahiers de charge qu’un abattoir doit fonctionner avec un véhicule approprié de transport de la viande.
En l’absence de ce qu’on veut, on se contente de ce qu’on a. Mais, il est temps de le confier aux spécialistes qui ont des matériels pouvant entretenir la viande et la garder saine, avant de l’acheminer dans les marchés. Cette pratique de transporter la viande sur la tête ou sur les épaules, parce qu’il y a des équipements qui sont prévus, est dangereux pour la santé de la population.
Pourtant, le transport de viande est une activité réglementée, du fait que si cette étape n’est pas réalisée dans de bonnes conditions, elle peut être une source de dégradation et de contamination par des bactéries diverses. Mais, force est de contacter que le transport de la viande se fait sur des motocyclettes et des voitures non frigorifiées ou des fois à vélo.
Au fait, l’étape du transport de l’abattoir aux points de vente constitue un véritable casse-tête. L'abattoir ne dispose pas de moyens de transport suffisant pour satisfaire la clientèle, une situation qui oblige les intervenants à transporter, avec les moyens qui sont les leurs, sans aucune disposition hygiénique.
Mamadou, un boucher au quartier Ridina dans le 5e arrondissement confirme : « Nous n'avons pas d’autre choix que de transporter la viande sur les motos, afin de satisfaire la clientèle. Il faut que la viande soit livrée avant 7h pour nettoyer », souligne-t-il.
Pour Alhadj Mahamat, consommateur habitant le quartier Dembé, dans le 7e arrondissement, « la viande est transportée à bord des motos sans aucune protection, car livrée au vent, à la poussière et aux fumées noires dégagées par les vieux muni bus. Pourtant, le transport de la viande doit être assuré dans les meilleures conditions de sécurité sanitaire.
C'est un problème de distribution qui semble négligé, l’étape du transport de l’abattoir aux points doit être surveillée par l’inspection vétérinaire. L’Etat est le garant de la sécurité sanitaire des aliments de la population. C’est dans les cahiers de charge qu’un abattoir doit fonctionner avec un véhicule approprié de transport de la viande.
En l’absence de ce qu’on veut, on se contente de ce qu’on a. Mais, il est temps de le confier aux spécialistes qui ont des matériels pouvant entretenir la viande et la garder saine, avant de l’acheminer dans les marchés. Cette pratique de transporter la viande sur la tête ou sur les épaules, parce qu’il y a des équipements qui sont prévus, est dangereux pour la santé de la population.