La Haute autorité des médias et de l’audiovisuel (HAMA) a convié le 25 janvier les différents organes de presse pour la signature de la Charte des médias du Tchad en période électorale.
Le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, a rappelé l'article n°05 de la Constitution selon lequel « toute propagande à caractère ethnique, tribal, régional ou confessionnel tendant à porter atteinte à l'unité nationale ou à la laicité de l’État est interdite”. L'article 28 de la Constitution énonce que « les libertés d'opinion et d'expression, de communication, de conscience, de religion, de presse, d'association, de réunion, de circulation, de manifestations sont garanties à tous. Elles ne peuvent être limitées que par respect des libertés et des droits d'autrui et par l'impératif de sauvegarder l'unité nationale, l'ordre public et les bonnes moeurs”.
Parmi ses prérogatives, la HAMA veille au respect des normes réglementaires en matière de propagande politique et de publicité commerciale et en contrôle l'objet. Elle fixe notamment les règles concernant les conditions de production, de programmation et de diffusion des émissions des organes de communication lors des campagnes électorales.
La charte souligne en ses articles 7, 8 et 9 que les medias respectent les droits des candidats à la vie privée et à la dignité. La publication ou la diffusion des informations qui touchent à la vie privée d'individus ne peut être justifiée que par l'intérêt public. Aussi, les medias veillent à ce que les militants et responsables de partis politiques n'utilisent leurs supports
pour tenir des propos diffamatoires ou injurieux.
L'article 14 évoque l'incitation à la haine et à la violence. Les medias s'engagent à traiter avec pondération et rigueur les sujets susceptibles d'alimenter des tensions et des antagonismes au sein de la population ou d'entraîner, envers certaines personnes, certaines communautés ou certains groupes, des attitudes de rejet.
Le président de la HAMA, Dieudonné Djonabaye, a rappelé l'article n°05 de la Constitution selon lequel « toute propagande à caractère ethnique, tribal, régional ou confessionnel tendant à porter atteinte à l'unité nationale ou à la laicité de l’État est interdite”. L'article 28 de la Constitution énonce que « les libertés d'opinion et d'expression, de communication, de conscience, de religion, de presse, d'association, de réunion, de circulation, de manifestations sont garanties à tous. Elles ne peuvent être limitées que par respect des libertés et des droits d'autrui et par l'impératif de sauvegarder l'unité nationale, l'ordre public et les bonnes moeurs”.
Parmi ses prérogatives, la HAMA veille au respect des normes réglementaires en matière de propagande politique et de publicité commerciale et en contrôle l'objet. Elle fixe notamment les règles concernant les conditions de production, de programmation et de diffusion des émissions des organes de communication lors des campagnes électorales.
La charte souligne en ses articles 7, 8 et 9 que les medias respectent les droits des candidats à la vie privée et à la dignité. La publication ou la diffusion des informations qui touchent à la vie privée d'individus ne peut être justifiée que par l'intérêt public. Aussi, les medias veillent à ce que les militants et responsables de partis politiques n'utilisent leurs supports
pour tenir des propos diffamatoires ou injurieux.
L'article 14 évoque l'incitation à la haine et à la violence. Les medias s'engagent à traiter avec pondération et rigueur les sujets susceptibles d'alimenter des tensions et des antagonismes au sein de la population ou d'entraîner, envers certaines personnes, certaines communautés ou certains groupes, des attitudes de rejet.