Les ménages les plus pauvres en manque de nourriture de qualité sont souvent gérés par une veuve. Après la mort du mari, la question de la protection se pose et la réintégration dans la vie sociale avec ce nouveau statut semble difficile.
Selon Dénebey Ruth, veuve et mère de deux enfants, habitant le quartier Chagoua dans le 7e arrondissement, il est difficile de s'en sortir avec la précarité sociale. « Nous avons toujours les mains tendues et les autres comme soutien dans nos activités commerciales, tout comme pour la ration alimentaire . Même ceux qui nous soutiennent n’arrivent pas à s’en sortir avec les hausses de prix des produits de première nécessité au marché », se lamente-t-elle.
« Nous célébrons toujours le mois de la femme dans la douleur d’être mères et épouses, même si le coté festif est de taille », explique Dénebey Ruth.
Peut-on parler des femmes au Tchad sans évoquer leur souffrance, surtout les veuves ? Combien d’entre-elles sont à l’abri du manque de nourriture ? Autant d'interrogations. Le portait d’une femme joyeuse au Tchad reste à définir car le sourire cache la souffrance.
Fatimé, veuve et mère de quatre filles et trois garçons, a choisi le chemin des activités commerciales pour se prendre en charge, après le décès de son conjoint. Mais avec cette cherté de vie, il est difficile de cuisiner tous les jours. « Notre vie semble monotone d’ennui. Malgré les efforts que la femme tchadienne fournit, les conditions de vie restent précaires », déplore-t-elle.
La question des mères veuves intéresse beaucoup plus la religion que la politique, selon Nadjikoss Joël, responsable de l’Eglise Evangélique des Frères. « La vraie religion consiste à visiter les veuves et orphelins », dit la parole de Dieu. À l'occasion de cette journée, le ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’enfance et le ministère de la Solidarité nationale doivent apporter un appui face aux difficultés liées au choc du veuvage car il faut célébrer cette semaine avec toutes les couches.
Selon Dénebey Ruth, veuve et mère de deux enfants, habitant le quartier Chagoua dans le 7e arrondissement, il est difficile de s'en sortir avec la précarité sociale. « Nous avons toujours les mains tendues et les autres comme soutien dans nos activités commerciales, tout comme pour la ration alimentaire . Même ceux qui nous soutiennent n’arrivent pas à s’en sortir avec les hausses de prix des produits de première nécessité au marché », se lamente-t-elle.
« Nous célébrons toujours le mois de la femme dans la douleur d’être mères et épouses, même si le coté festif est de taille », explique Dénebey Ruth.
Peut-on parler des femmes au Tchad sans évoquer leur souffrance, surtout les veuves ? Combien d’entre-elles sont à l’abri du manque de nourriture ? Autant d'interrogations. Le portait d’une femme joyeuse au Tchad reste à définir car le sourire cache la souffrance.
Fatimé, veuve et mère de quatre filles et trois garçons, a choisi le chemin des activités commerciales pour se prendre en charge, après le décès de son conjoint. Mais avec cette cherté de vie, il est difficile de cuisiner tous les jours. « Notre vie semble monotone d’ennui. Malgré les efforts que la femme tchadienne fournit, les conditions de vie restent précaires », déplore-t-elle.
La question des mères veuves intéresse beaucoup plus la religion que la politique, selon Nadjikoss Joël, responsable de l’Eglise Evangélique des Frères. « La vraie religion consiste à visiter les veuves et orphelins », dit la parole de Dieu. À l'occasion de cette journée, le ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection de l’enfance et le ministère de la Solidarité nationale doivent apporter un appui face aux difficultés liées au choc du veuvage car il faut célébrer cette semaine avec toutes les couches.