Dr. Foudda Mahamat Djourab, enseignant chercheur à l'université de N'djamena, a tenu en haleine l'auditoire sur un débat autour du thème intitulé : "quel rapport entre l'administration publique et les chefferies traditionnelles". Dans son intervention, il a affirmé que les hommes ont échoué dans leur manière de voir les choses. À ses yeux, il importe donc de confier la Primature aux femmes.
Selon lui, la tradition est l'incarnation des valeurs morales et ancestrales. On les désigne comme des intermédiaires entre nous, c'est-à-dire entre le monde visible, et le monde des ancêtres. "Ceux qui créent des problèmes, c'est que chez eux, il n'y a pas de chefferie traditionnelle, c'est le désordre. Le chef traditionnel est le garant de la tradition", a-t-il dit.
"Nous ne savons pas ce que nous devons faire, nous pensons qu'avec nos galons, avec nos relations, nous pouvons tout faire", a indiqué Dr. Foudda Mahamat. Pour lui, "un ignorant qui ne connait pas la culture ni le respect et on l'envoi comme administrateur, qu'est-ce qu'il pourra faire si ce n'est créer des conflits".
Dr. Foudda a conclu ses propos en estimant qu'à ce jour, il n'y a pas une assise meilleure que la conférence nationale souveraine de 1993 car il y avait une force de sincérité.
Selon lui, la tradition est l'incarnation des valeurs morales et ancestrales. On les désigne comme des intermédiaires entre nous, c'est-à-dire entre le monde visible, et le monde des ancêtres. "Ceux qui créent des problèmes, c'est que chez eux, il n'y a pas de chefferie traditionnelle, c'est le désordre. Le chef traditionnel est le garant de la tradition", a-t-il dit.
"Nous ne savons pas ce que nous devons faire, nous pensons qu'avec nos galons, avec nos relations, nous pouvons tout faire", a indiqué Dr. Foudda Mahamat. Pour lui, "un ignorant qui ne connait pas la culture ni le respect et on l'envoi comme administrateur, qu'est-ce qu'il pourra faire si ce n'est créer des conflits".
Dr. Foudda a conclu ses propos en estimant qu'à ce jour, il n'y a pas une assise meilleure que la conférence nationale souveraine de 1993 car il y avait une force de sincérité.