Le Conseil national des importateurs, transitaires et exportateurs (CONITE) a déploré mardi des difficultés majeures auxquelles ils sont confrontés depuis le début de l'année. Celles-ci ont entrainé le blocage des conteneurs dans les ports secs sur le territoire national.
Selon le rapporteur général du CONITE, Mahamat Abakar Moussa, au motif d'appliquer une nouvelle disposition relative à l'acompte fiscal, le dédouanement de la plupart des produits a été multiplié par deux, voire par trois. Cette situation fait augmenter incontestablement le prix à la consommation.
Globalement, les importateurs détiennent les papiers afférents aux produits importés et dans leur ensemble, possėdent un numéro d'identification fiscal (NIF) suffisant pour ne pas faire l'amalgame avec les fraudeurs et contrebandiers.
Les importateurs, transitaires et exportateurs évoquent des faux frais de l'ordre de 530.000 Fcfa par conteneur sur la trajet Douala-Frontière Tchad, et de l'ordre de 370.000 Fcfa depuis l'entrée au Tchad jusqu'au pont Ngueli.
En ce qui concerne le précompte de l'IRPP, c'est-à-dire l'acompte fiscal fixé à 15% de la valeur imposable uniquement pour les importateurs non référencés à la direction générale des impôts, les opérateurs économiques de la place souhaitent I'implication personnelle du chef de l'État pour décanter cette situation.
Selon le rapporteur général du CONITE, Mahamat Abakar Moussa, au motif d'appliquer une nouvelle disposition relative à l'acompte fiscal, le dédouanement de la plupart des produits a été multiplié par deux, voire par trois. Cette situation fait augmenter incontestablement le prix à la consommation.
Globalement, les importateurs détiennent les papiers afférents aux produits importés et dans leur ensemble, possėdent un numéro d'identification fiscal (NIF) suffisant pour ne pas faire l'amalgame avec les fraudeurs et contrebandiers.
"La pratique douanière est devenue tout simplement inaccessible à nos transitaires sensés déclarer nos marchandises. En tant qu'entreprises contributrices, nous en appelons aux autorités compétentes à revoir cette situation de blocage qui met à mal le commerce formel, les activités de transport et de transit jusqu'au Cameroun."
Les importateurs, transitaires et exportateurs évoquent des faux frais de l'ordre de 530.000 Fcfa par conteneur sur la trajet Douala-Frontière Tchad, et de l'ordre de 370.000 Fcfa depuis l'entrée au Tchad jusqu'au pont Ngueli.
En ce qui concerne le précompte de l'IRPP, c'est-à-dire l'acompte fiscal fixé à 15% de la valeur imposable uniquement pour les importateurs non référencés à la direction générale des impôts, les opérateurs économiques de la place souhaitent I'implication personnelle du chef de l'État pour décanter cette situation.