Le marché moderne de poisson, situé non loin du pont de Chagoua a été construit sur la demande de l’Union des organisations des femmes vendeuses de poisson du Tchad. Mais ces vendeuses désertent leur place habituelle pour s’installer aux bords des artères, obstruant ainsi la circulation. Elles sont installées tout au long du goudron, devant l’Eglise catholique Sacré-Cœur jusqu’à la devanture de leur marché. Il faut noter que le projet de construction d’un marché moderne de poisson, vise à développer le secteur de la pêche et encourager l’autonomisation de la femme.
Plusieurs raisons sont avancées, justifiant leurs installations au bord la rue. « Nous sommes à la recherche de la visibilité afin d’attirer la clientèle », affirme une vendeuse. Pour d'autres, « c’est une tactique de forcer l’achat aux usagers qui rentrent du travail, tout fatigué ». A raison ou à tort, ces vendeuses courent des risques d’accident de circulation en cas de dérapage des engins. Elles sont exposées sous les intempéries, récipients pleins de poisson en main, toujours en mouvement, prêtes à courir après les véhicules, on dirait un joueur de football sur le terrain.
Selon Melom Clarisse, l'une des clientes, « elles courent tout un risque, mais si elles sont à l’intérieur, c’est difficile d’avoir de la clientèle ». Cette situation est due au manque d’organisation des femmes vendeuses de poisson. Il est bien de chercher à attirer les clients par tout moyen possible, mais le plus important est de songer au comment faire. Cette structure construite pour la vente de poisson doit être connue de tous et accessibles à tous les acheteurs.
Pour l’heure, la mairie du 6ème arrondissement et l’Union des organisations des femmes vendeuses de poisson doivent assumer leur responsabilité en réinstallant les vendeuses à l’intérieur du marché. Dès lors, il faut que la mairie joue son rôle en tant que premier responsable de ce marché, en répondant à ce désordre, en collaboration avec ladite organisation des femmes, pour asseoir les meilleures stratégies d’attirer la clientèle.
Plusieurs raisons sont avancées, justifiant leurs installations au bord la rue. « Nous sommes à la recherche de la visibilité afin d’attirer la clientèle », affirme une vendeuse. Pour d'autres, « c’est une tactique de forcer l’achat aux usagers qui rentrent du travail, tout fatigué ». A raison ou à tort, ces vendeuses courent des risques d’accident de circulation en cas de dérapage des engins. Elles sont exposées sous les intempéries, récipients pleins de poisson en main, toujours en mouvement, prêtes à courir après les véhicules, on dirait un joueur de football sur le terrain.
Selon Melom Clarisse, l'une des clientes, « elles courent tout un risque, mais si elles sont à l’intérieur, c’est difficile d’avoir de la clientèle ». Cette situation est due au manque d’organisation des femmes vendeuses de poisson. Il est bien de chercher à attirer les clients par tout moyen possible, mais le plus important est de songer au comment faire. Cette structure construite pour la vente de poisson doit être connue de tous et accessibles à tous les acheteurs.
Pour l’heure, la mairie du 6ème arrondissement et l’Union des organisations des femmes vendeuses de poisson doivent assumer leur responsabilité en réinstallant les vendeuses à l’intérieur du marché. Dès lors, il faut que la mairie joue son rôle en tant que premier responsable de ce marché, en répondant à ce désordre, en collaboration avec ladite organisation des femmes, pour asseoir les meilleures stratégies d’attirer la clientèle.