Conscients de l’urgence climatique et des défis que posent les inondations récurrentes au Tchad, les étudiants de l’École Nationale Supérieure des Travaux Publics (ENSTP) ont organisé le 16 mars 2025 à N’Djamena, une conférence webinaire sur le thème « Étude et diagnostic des inondations au Tchad : Vers des solutions durables ».
Cet événement, qui a réuni ingénieurs, urbanistes et anthropologues, s’inscrit dans une dynamique proactive visant à proposer des réponses concrètes à ce fléau qui ravage chaque année la capitale tchadienne et d’autres régions du pays.
Dans son intervention, l’ingénieur Abakar Mahamat Seid, président du comité d’organisation, a rappelé que l’inondation est un phénomène naturel comme les autres. « Nous, en tant qu’étudiants, avons la capacité d’apporter des solutions viables », a-t-il rappelé.
Pour sa part, le directeur de la voirie, Oumar Sarmadji, a salué cette initiative des mobilisations dans le cadre de l’importance d’une réflexion pluridisciplinaire intégrant le bien des infrastructures, et les aspects socio-économiques et environnementaux du problème.
Les débats, riches et constructifs, ont mis en exergue plusieurs pistes d’action, parmi lesquelles : l’amélioration du réseau de drainage afin de mieux canaliser les eaux pluviales, l’aménagement de bassins de rétention pour contenir les crues, la sensibilisation des populations aux bonnes pratiques en matière d’urbanisme et de gestion des déchets, le renforcement des infrastructures résilientes, adaptées aux réalités climatiques locales.
Il faut rappeler que ce webinaire marque une étape clé dans la lutte contre les inondations au Tchad. Il témoigne de l’implication grandissante de la jeunesse estudiantine dans les enjeux cruciaux du pays. En mobilisant savoirs et expertises, les étudiants de l’ENSTP démontrent que la solution aux défis urbains ne viendra pas uniquement des politiques publiques, mais aussi de la société civile et des forces vives du pays.
L’initiative mérite d’être encouragée et soutenue, car c’est par une action concertée et durable que N’Djamena pourra enfin sortir du cycle infernal des inondations, et bâtir un avenir plus résilient, pour un engagement scientifique et citoyen. Cette initiative repose sur une volonté affirmée d’élaborer un document stratégique mettant en avant des solutions durables pour endiguer les inondations.
N’Djamena, bâtie sur un relief quasiment plat et bordée par les fleuves Chari et Logone, est particulièrement vulnérable aux crues et aux eaux de ruissellement.
Cet événement, qui a réuni ingénieurs, urbanistes et anthropologues, s’inscrit dans une dynamique proactive visant à proposer des réponses concrètes à ce fléau qui ravage chaque année la capitale tchadienne et d’autres régions du pays.
Dans son intervention, l’ingénieur Abakar Mahamat Seid, président du comité d’organisation, a rappelé que l’inondation est un phénomène naturel comme les autres. « Nous, en tant qu’étudiants, avons la capacité d’apporter des solutions viables », a-t-il rappelé.
Pour sa part, le directeur de la voirie, Oumar Sarmadji, a salué cette initiative des mobilisations dans le cadre de l’importance d’une réflexion pluridisciplinaire intégrant le bien des infrastructures, et les aspects socio-économiques et environnementaux du problème.
Les débats, riches et constructifs, ont mis en exergue plusieurs pistes d’action, parmi lesquelles : l’amélioration du réseau de drainage afin de mieux canaliser les eaux pluviales, l’aménagement de bassins de rétention pour contenir les crues, la sensibilisation des populations aux bonnes pratiques en matière d’urbanisme et de gestion des déchets, le renforcement des infrastructures résilientes, adaptées aux réalités climatiques locales.
Il faut rappeler que ce webinaire marque une étape clé dans la lutte contre les inondations au Tchad. Il témoigne de l’implication grandissante de la jeunesse estudiantine dans les enjeux cruciaux du pays. En mobilisant savoirs et expertises, les étudiants de l’ENSTP démontrent que la solution aux défis urbains ne viendra pas uniquement des politiques publiques, mais aussi de la société civile et des forces vives du pays.
L’initiative mérite d’être encouragée et soutenue, car c’est par une action concertée et durable que N’Djamena pourra enfin sortir du cycle infernal des inondations, et bâtir un avenir plus résilient, pour un engagement scientifique et citoyen. Cette initiative repose sur une volonté affirmée d’élaborer un document stratégique mettant en avant des solutions durables pour endiguer les inondations.
N’Djamena, bâtie sur un relief quasiment plat et bordée par les fleuves Chari et Logone, est particulièrement vulnérable aux crues et aux eaux de ruissellement.