Après un peu plus de deux mois d’absence, Koulamallah Abdelaziz ressurgit de nulle part, non, du no man’s land avec une kalachnikov à la main pour, dit-il, dire ce qu’il pense bon à dire face à ce qu’il qualifie d’« inadmissible ».
S’étant auto proclamé « général » quelques mois plus tôt, il ne lui a semblé ni compatible avec la situation qui était la sienne ni facile de pouvoir arborer à volonté ce galon qui se mérite par la prouesse qu’un soldat aura à réaliser sur des théâtres d'opérations. Afin de légaliser, voire légitimer ce statut de « général » si difficile à justifier, il a dû s’être embarqué jusque sur le terrain levantin et prendre part à un « combat » de quelques heures.
Monsieur Koulamallah, plutôt le « général » Abdelaziz comme il se plait à se faire appeler ainsi, se vante fort bien d’avoir pris part au combat d’Adé du 1er avril qui s’est soldé pourtant par la débandade des assaillants. « Il ne s’agit pas d’une défaite puisque la ville d’Adé était tenue par les Toroboros… » laisse-t-il entendre à qui veut l’écouter. Abdelaziz Koulamallah se confie à Tchad Info (Alwihda). A suivre prochainement.
Kébir
S’étant auto proclamé « général » quelques mois plus tôt, il ne lui a semblé ni compatible avec la situation qui était la sienne ni facile de pouvoir arborer à volonté ce galon qui se mérite par la prouesse qu’un soldat aura à réaliser sur des théâtres d'opérations. Afin de légaliser, voire légitimer ce statut de « général » si difficile à justifier, il a dû s’être embarqué jusque sur le terrain levantin et prendre part à un « combat » de quelques heures.
Monsieur Koulamallah, plutôt le « général » Abdelaziz comme il se plait à se faire appeler ainsi, se vante fort bien d’avoir pris part au combat d’Adé du 1er avril qui s’est soldé pourtant par la débandade des assaillants. « Il ne s’agit pas d’une défaite puisque la ville d’Adé était tenue par les Toroboros… » laisse-t-il entendre à qui veut l’écouter. Abdelaziz Koulamallah se confie à Tchad Info (Alwihda). A suivre prochainement.
Kébir