La secrétaire générale de la Fondation Grand Coeur, Habiba Sahoulba, a appelé mercredi les partenaires à s'unir pour lutter contre le fléau de la malnutrition qui touche le Tchad, lors du lancement d'un projet de lutte contre la malnutrition maternelle et infantile dénommé « Ma maman, ma bouillie ».
"Unissons-nous pour lutter contre ce fléau tueur silencieux. J'invite les uns et les autres, je voudrais parler des bailleurs de fonds, des organisations de la société civile, des leaders religieux, toute personne de bonne volonté, de prendre le risque de porter ce combat haut parce qu'un enfant malnutrie ne pourra pas participer à la vie économique de son pays", souligne Habiba Sahoulba.
Elle ajoute que "ce combat que nous devons mener ensemble est de renforcer et soutenir cette tranche de population afin de pouvoir prévenir certaines maladies au lieu de les guérir".
La situation alimentaire et nutritionnelle est préoccupante au Tchad. Les résultats de l’enquête SMART 2019 révèlent que la malnutrition aigüe est stationnaire avec un taux de 12,9% de la malnutrition aiguë globale et 2,9% de la malnutrition aiguë sévère.
Selon Habiba Sahoulba, secrétaire générale de la Fondation Grand Coeur, "la sous-nutrition entraîne l'apparition récurrente ou l'intensification de la gravité de certaines pathologies et accroît les risques de décès au cours des étapes précises de cycle de vie. Elle affecte négativement le développement psychomoteur de l'enfante c'est-à-dire elle cause un retard de croissance à la fois physique et psychique."
Au total, 18 provinces sont en situation nutritionnelle préoccupante. Parmi ces provinces, 9 sont en situation critique, c’est à dire ayant une prévalence supérieure au taux d’urgence de 15%, selon la classification de l’OMS.
"Unissons-nous pour lutter contre ce fléau tueur silencieux. J'invite les uns et les autres, je voudrais parler des bailleurs de fonds, des organisations de la société civile, des leaders religieux, toute personne de bonne volonté, de prendre le risque de porter ce combat haut parce qu'un enfant malnutrie ne pourra pas participer à la vie économique de son pays", souligne Habiba Sahoulba.
Elle ajoute que "ce combat que nous devons mener ensemble est de renforcer et soutenir cette tranche de population afin de pouvoir prévenir certaines maladies au lieu de les guérir".
La situation alimentaire et nutritionnelle est préoccupante au Tchad. Les résultats de l’enquête SMART 2019 révèlent que la malnutrition aigüe est stationnaire avec un taux de 12,9% de la malnutrition aiguë globale et 2,9% de la malnutrition aiguë sévère.
Selon Habiba Sahoulba, secrétaire générale de la Fondation Grand Coeur, "la sous-nutrition entraîne l'apparition récurrente ou l'intensification de la gravité de certaines pathologies et accroît les risques de décès au cours des étapes précises de cycle de vie. Elle affecte négativement le développement psychomoteur de l'enfante c'est-à-dire elle cause un retard de croissance à la fois physique et psychique."
Au total, 18 provinces sont en situation nutritionnelle préoccupante. Parmi ces provinces, 9 sont en situation critique, c’est à dire ayant une prévalence supérieure au taux d’urgence de 15%, selon la classification de l’OMS.