Mission de reconnaissance et d’expertise de l’aérodrome de Moussoro au Tchad. © Ministère français des armées
Le ministère français des Armées donne des précisions sur la mission :
L’objectif de la mission, selon le ministère français des Armées, était "d’étudier la praticabilité de la piste d’atterrissage de l’aérodrome afin qu’elle puisse servir de piste secondaire pour la réalisation de missions aériennes dans la région. Cette infrastructure permettrait alors d’améliorer les opérations conjointes entre le Tchad et la France dans leur lutte contre les Groupes armés terroristes (GAT) au Sahel".
Appuyé par l’ANT qui sécurisait les lieux, le SGTIA a procédé à l’expertise de la piste afin d’anticiper les actions de remise en condition opérationnelle.
"En collaboration avec l’ANT, les éléments français du SGTIA, issus de la 13e Demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE), du 25e Régiment du génie de l’air (25e RGA) et du 3e Régiment d’artillerie de marine (3e RAMa), ont parcouru par voie routière les 300 km de pistes séparant N’Djamena de Moussoro."
L’objectif de la mission, selon le ministère français des Armées, était "d’étudier la praticabilité de la piste d’atterrissage de l’aérodrome afin qu’elle puisse servir de piste secondaire pour la réalisation de missions aériennes dans la région. Cette infrastructure permettrait alors d’améliorer les opérations conjointes entre le Tchad et la France dans leur lutte contre les Groupes armés terroristes (GAT) au Sahel".
Appuyé par l’ANT qui sécurisait les lieux, le SGTIA a procédé à l’expertise de la piste afin d’anticiper les actions de remise en condition opérationnelle.