L’année 2017 s’est achevée, quel bilan faites-vous en tant qu’opérateur économique et président du Conseil National des Pétroliers (CNP) ?
Merci ! Permettez-moi avant tout de vous souhaiter bonne et heureuse année. Que cette année soit une année de réussite totale pour le site Alwhida Info qui fait un travail remarquable et à toute l’équipe qui travaille pour ce site.
Ceci étant, je vous remercie de m’offrir cette opportunité de faire un bilan de l’année 2017. Au niveau du CNP, nous ne disons pas que tout est noir, même si nous avons traversé des moments très difficiles en 2017. Nous avons dû faire face à la crise économique et financière que traverse le pays qui se caractérise par des méventes, pénuries etc. C’est une période de la vie qu’on a vécu très difficilement. Des multiples contraintes du ministère du Pétrole et de l’Energie nous sont tombés sur la tête. Cela a gâché tous nos plans d’actions. On a d’abord commencé en éliminant des marketers au niveau de la raffinerie, ensuite la destruction des mini-stations, la suspension des stations, et enfin le retrait d’agrément de la SOPET.
Pour tout vous dire, l’année 2017 a été très sombre pour le CNP.
Vous venez de dresser une panoplie des difficultés que le CNP a traversé en 2017, comment comptez-vous surmonter ces obstacles en 2018 ?
Je vous assure qu’on a toujours le moral haut. Nous disons toujours que tout ce que Dieu décide est bon. Nous sommes sûrs que le bon Dieu nous aidera à surmonter nos difficultés quelles que soient leur nature. Donc ce n’est que quelques pas en arrière et je pense que nous allons mieux sauter, s’il plait à Dieu. C’est pourquoi nous avons espoir que nos activités se relancent en 2018. Beaucoup d’opérateurs économiques membres du CNP sont partis au village à cause des difficultés que nous avons traversé en 2017. Leur mini budget, qu’ils ont investi dans la construction des stations-services détruites, est perdu.
Quelles sont alors vos perspectives pour 2018 pour que le CNP retrouve sa place ?
Franchement, nous n’avons pas encore élaboré un plan d’action pour l’année 2018, parce qu’elle vient de commencer. Nous allons organiser bientôt une assemblée générale et c’est elle qui va décider de nos actions futures. Nous avons espoir en l’avenir. En 2017, nous avons pleuré, nous avons tendu la main partout mais personne ne nous a écouté. Nous espérons que tous les cris que nous avons poussé en 2017 seront entendus et un plan de sauvetage de nos activités sera présenté et exécuté. Sinon, pour le moment nous comptons sur notre foi, et au bon Dieu qui nous aidera à relancer nos activités. Actuellement nous sommes tous à la maison, nous n'avons aucune activité, nous sommes contraints au chômage.
Merci ! Permettez-moi avant tout de vous souhaiter bonne et heureuse année. Que cette année soit une année de réussite totale pour le site Alwhida Info qui fait un travail remarquable et à toute l’équipe qui travaille pour ce site.
Ceci étant, je vous remercie de m’offrir cette opportunité de faire un bilan de l’année 2017. Au niveau du CNP, nous ne disons pas que tout est noir, même si nous avons traversé des moments très difficiles en 2017. Nous avons dû faire face à la crise économique et financière que traverse le pays qui se caractérise par des méventes, pénuries etc. C’est une période de la vie qu’on a vécu très difficilement. Des multiples contraintes du ministère du Pétrole et de l’Energie nous sont tombés sur la tête. Cela a gâché tous nos plans d’actions. On a d’abord commencé en éliminant des marketers au niveau de la raffinerie, ensuite la destruction des mini-stations, la suspension des stations, et enfin le retrait d’agrément de la SOPET.
Pour tout vous dire, l’année 2017 a été très sombre pour le CNP.
Vous venez de dresser une panoplie des difficultés que le CNP a traversé en 2017, comment comptez-vous surmonter ces obstacles en 2018 ?
Je vous assure qu’on a toujours le moral haut. Nous disons toujours que tout ce que Dieu décide est bon. Nous sommes sûrs que le bon Dieu nous aidera à surmonter nos difficultés quelles que soient leur nature. Donc ce n’est que quelques pas en arrière et je pense que nous allons mieux sauter, s’il plait à Dieu. C’est pourquoi nous avons espoir que nos activités se relancent en 2018. Beaucoup d’opérateurs économiques membres du CNP sont partis au village à cause des difficultés que nous avons traversé en 2017. Leur mini budget, qu’ils ont investi dans la construction des stations-services détruites, est perdu.
Quelles sont alors vos perspectives pour 2018 pour que le CNP retrouve sa place ?
Franchement, nous n’avons pas encore élaboré un plan d’action pour l’année 2018, parce qu’elle vient de commencer. Nous allons organiser bientôt une assemblée générale et c’est elle qui va décider de nos actions futures. Nous avons espoir en l’avenir. En 2017, nous avons pleuré, nous avons tendu la main partout mais personne ne nous a écouté. Nous espérons que tous les cris que nous avons poussé en 2017 seront entendus et un plan de sauvetage de nos activités sera présenté et exécuté. Sinon, pour le moment nous comptons sur notre foi, et au bon Dieu qui nous aidera à relancer nos activités. Actuellement nous sommes tous à la maison, nous n'avons aucune activité, nous sommes contraints au chômage.
Peut-on avoir une idée sur les pertes financières que les opérateurs économiques membres du CNP ont subi suite aux différentes décisions prises par le ministère du Pétrole et de l’Energie ?
Nous n’avons pas un chiffre exact à vous fournir des dégâts financiers que nos membres ont subi. Vous, en tant que journaliste, avez suivi presque toutes les décisions et la mise en application. Nos membres ont perdu presque tout en 2017. Par exemple, une petite station coûte plusieurs millions. Les gens ont perdu leur argent, leur emploi et l’emploi qu’ils offrent aux autres.
Quel est alors votre souhait pour 2018 ?
J’ai toujours dit qu’au Tchad, nous avons traverser des moments difficiles et nous avons réussi à surmonter. Il faut toujours avoir espoir en l’avenir. Le passé n’est que le passé, cela nous servira de leçon. En 2018, nous pensons que les choses vont changer.
Nous n’avons pas un chiffre exact à vous fournir des dégâts financiers que nos membres ont subi. Vous, en tant que journaliste, avez suivi presque toutes les décisions et la mise en application. Nos membres ont perdu presque tout en 2017. Par exemple, une petite station coûte plusieurs millions. Les gens ont perdu leur argent, leur emploi et l’emploi qu’ils offrent aux autres.
Quel est alors votre souhait pour 2018 ?
J’ai toujours dit qu’au Tchad, nous avons traverser des moments difficiles et nous avons réussi à surmonter. Il faut toujours avoir espoir en l’avenir. Le passé n’est que le passé, cela nous servira de leçon. En 2018, nous pensons que les choses vont changer.