Le ministre des Finances et du Budget, Tahir Hamid Nguilin.
"Les produits de première nécessité sont exonérés mais les prix, ce n'est pas forcément parce que les impôts sont élevés. Les salaires ont été très élevés, c'est l'une des explications", a clarifié le ministre.
Selon Tahir Hamid Nguilin, l'ensemble des secteurs ont connu une évolution favorable. "Avec le Covid, partout dans le monde, au début les gens n'ont pas consommé, ils ont épargné. Maintenant ils commencent à consommer. Les prix c'est toujours une affaire d'offre et de demande, pas une question de taxe", a-t-il relevé.
D'après le ministre, "le prix des transports en bateaux s'est multiplié par trois, ce qui a forcément un impact sur les produits importés. "C'est pourquoi nous devons tout faire pour produire localement et consommer localement. Si nous ne consommons que du riz importé, le prix sera naturellement élevé. Est-ce que l'État peut subventionner ? Les subventions n'ont marché nulle part. Ça a détruit l'économie les subventions".
Selon Tahir Hamid Nguilin, l'ensemble des secteurs ont connu une évolution favorable. "Avec le Covid, partout dans le monde, au début les gens n'ont pas consommé, ils ont épargné. Maintenant ils commencent à consommer. Les prix c'est toujours une affaire d'offre et de demande, pas une question de taxe", a-t-il relevé.
D'après le ministre, "le prix des transports en bateaux s'est multiplié par trois, ce qui a forcément un impact sur les produits importés. "C'est pourquoi nous devons tout faire pour produire localement et consommer localement. Si nous ne consommons que du riz importé, le prix sera naturellement élevé. Est-ce que l'État peut subventionner ? Les subventions n'ont marché nulle part. Ça a détruit l'économie les subventions".