Le président du Conseil de l'ordre du barreau du Tchad, Me. Djerandi Laguerre, a appelé le 21 février les autorités à nommer des personnes formées aux postes d'administrateurs, particulièrement celles ayant fait l'École nationale d'administration (ENA).
"Des administrateurs formés. Nous ne voulons plus des analphabètes, des semi-analphabètes à la tête de nos institutions", a déclaré le président du Conseil de l'ordre du barreau au cours d'une marche pacifique des professions judiciaires libérales à N'Djamena.
Me. Djerandi Laguerre a estimé que des officiels à différents niveaux sont devenus eux-mêmes des éleveurs en distribuant des armes qui sèment la désolation. "Certains distribuent les armes à des brigands, bandits de grands chemins qui ôtent la vie de nos concitoyens", a-t-il dénoncé.
Dans un entretien à la Télévision nationale, le président du Conseil militaire de transition Mahamat Idriss Deby a identifié la corruption de certains magistrats comme étant l'un des facteurs des conflits intercommunautaires. Il a également pointé du doigt la porosité des frontières et la circulation des armes qui proviennent à plus de 90% de la Libye. Mahamat Idriss Deby n'a pas remis en cause les administrateurs qui sont souvent pointés du doigt lors des conflits.
"Des administrateurs formés. Nous ne voulons plus des analphabètes, des semi-analphabètes à la tête de nos institutions", a déclaré le président du Conseil de l'ordre du barreau au cours d'une marche pacifique des professions judiciaires libérales à N'Djamena.
Me. Djerandi Laguerre a estimé que des officiels à différents niveaux sont devenus eux-mêmes des éleveurs en distribuant des armes qui sèment la désolation. "Certains distribuent les armes à des brigands, bandits de grands chemins qui ôtent la vie de nos concitoyens", a-t-il dénoncé.
Dans un entretien à la Télévision nationale, le président du Conseil militaire de transition Mahamat Idriss Deby a identifié la corruption de certains magistrats comme étant l'un des facteurs des conflits intercommunautaires. Il a également pointé du doigt la porosité des frontières et la circulation des armes qui proviennent à plus de 90% de la Libye. Mahamat Idriss Deby n'a pas remis en cause les administrateurs qui sont souvent pointés du doigt lors des conflits.