Une grande pulvérisation de la ville de N’Djamena est envisagée prochainement pour lutter contre le paludisme, conjointement avec la mairie, le ministère de l’Environnement et le ministère de la Santé publique.
Le ministre de la Santé publique Pr. Mahamoud Youssouf Khayal a précisé que cette pulvérisation aura lieu grâce au soutien d'une ONG Qatari. Elle vise à éliminer les oeufs de moustiques pour éviter la reproduction et endiguer le paludisme à l'entame de la saison des pluies.
"Le paludisme, c'est pas seulement les moustiquaires. Nous avons mis une commission et nous avons commencé à travailler. On veut mettre sur pied quelque chose qui nous permet de lutter contre le paludisme, au moment où les choses sont encore au niveau préventif, c'est-à-dire qu'on va tuer les oeufs de moustiques, on va pulvériser", a dit Pr. Mahamoud Youssouf Khayal.
Malgré la fermeture des frontières et les difficultés pour acheminer le matériel adéquat, des alternatives ont été trouvées pour mener cette opération.
"On va faire ce travail. À un moment donné, ça se faisait. Maintenant on va reprendre. Le travail est très en avance. N'eut été le Covid, si la frontière était ouverte, les Qatari auraient acheter les voitures avec l'Égypte. Ils vont l'apporter ici. Néanmoins, nous voulons faire autrement, le travail est très en avance", a conclu le ministre.
Le ministre de la Santé publique Pr. Mahamoud Youssouf Khayal a précisé que cette pulvérisation aura lieu grâce au soutien d'une ONG Qatari. Elle vise à éliminer les oeufs de moustiques pour éviter la reproduction et endiguer le paludisme à l'entame de la saison des pluies.
"Le paludisme, c'est pas seulement les moustiquaires. Nous avons mis une commission et nous avons commencé à travailler. On veut mettre sur pied quelque chose qui nous permet de lutter contre le paludisme, au moment où les choses sont encore au niveau préventif, c'est-à-dire qu'on va tuer les oeufs de moustiques, on va pulvériser", a dit Pr. Mahamoud Youssouf Khayal.
Malgré la fermeture des frontières et les difficultés pour acheminer le matériel adéquat, des alternatives ont été trouvées pour mener cette opération.
"On va faire ce travail. À un moment donné, ça se faisait. Maintenant on va reprendre. Le travail est très en avance. N'eut été le Covid, si la frontière était ouverte, les Qatari auraient acheter les voitures avec l'Égypte. Ils vont l'apporter ici. Néanmoins, nous voulons faire autrement, le travail est très en avance", a conclu le ministre.