Selon une estimation provisoire, 465 030 hectares de terres agricoles ont été ravagées par les inondations et 19 399 têtes de bétail emportées par les eaux, ce qui risque d’aggraver la situation d’insécurité alimentaire qui touche déjà le pays.
Ces inondations sont consécutives aux précipitations abondantes qui sont enregistrées à travers le pays, mais également au débordement des cours d’eau et/ou à la rupture de digues.
Les provinces les plus touchées sont le Mayo Kebbi Est (246 103 personnes), le Logone Occidental (147 129 personnes), la Tandjilé (138 831 personnes) et le Mandoul (82 608 personnes).
En termes d’assistance, 27 000 ménages (162 000 personnes) ont déjà reçu une assistance alimentaire, des articles ménagers essentiels. Ces ménages ont également reçu une assistance médicale ainsi qu’une assistance en eau, hygiène et assainissement tandis que 150 000 ménages, dont plus de 8 000 ménages de la province du Sila, n’ont pas encore reçu d’assistance, soit en raison de contraintes d’accès liées à l’environnement physique, soit à de faibles capacités des acteurs.
Un plaidoyer est en cours pour assister urgemment les personnes inaccessibles sur la base des principes humanitaires et des directives de la coordination Civilo-militaire, précise l'OCHA.
Ces inondations sont consécutives aux précipitations abondantes qui sont enregistrées à travers le pays, mais également au débordement des cours d’eau et/ou à la rupture de digues.
Les provinces les plus touchées sont le Mayo Kebbi Est (246 103 personnes), le Logone Occidental (147 129 personnes), la Tandjilé (138 831 personnes) et le Mandoul (82 608 personnes).
En termes d’assistance, 27 000 ménages (162 000 personnes) ont déjà reçu une assistance alimentaire, des articles ménagers essentiels. Ces ménages ont également reçu une assistance médicale ainsi qu’une assistance en eau, hygiène et assainissement tandis que 150 000 ménages, dont plus de 8 000 ménages de la province du Sila, n’ont pas encore reçu d’assistance, soit en raison de contraintes d’accès liées à l’environnement physique, soit à de faibles capacités des acteurs.
Un plaidoyer est en cours pour assister urgemment les personnes inaccessibles sur la base des principes humanitaires et des directives de la coordination Civilo-militaire, précise l'OCHA.