Les autorités judiciaires du Tribunal de grande instance (TGI) de Guereda ont procédé le 17 août 2021, dans la grande salle d'audience de ladite juridiction, à la remise collective des peines aux condamnés de droit commun de la maison d'arrêt de Guereda. La cérémonie a vu la présence des autorités administratives, traditionnelles et religieuses du département de Dar-Tama.
Selon le Procureur de la République près du TGI de Guereda, Adam Ibrahim Adam, c'est conformément aux attributions constitutionnelles présidentielles, notamment le droit de grâce que le président du CMT, président de la République Mahamat Idriss Deby a, en date du 30 juin 2021, signé le décret portant remise collective des peines aux condamnés de droit commun. Il a aussi précisé que les remises des peines dont il est question, ne préjudicient pas aux droits de l'État, des parties civiles et des tiers. Les condamnés ne peuvent bénéficier que d'une seule remise des peines pour leur condamnation en cours, a t-il ajouté. Pour lui, la maison d'arrêt de Guereda a une capacité d'accueil de 100 détenus, et contient actuellement 37 détenus (condamnés, prévenus et inculpés confondus). C'est-à-dire qu'il n'y a pas une surpopulation carcérale à l'instant.
Les condamnés bénéficiaires de la remise des peines sont au nombre de 13, tous majeurs et condamnés pour diverses infractions, notamment, la détention illégale d'arme à feu, vol, crime et blessures volontaires mortels. S'adressant aux bénéficiaires de cette remise des peines, le Procureur de la République, Adam Ibrahim Adam, a affirmé que s'ils se retrouvent à la maison d'arrêt, c'est parce qu'ils ont transgressé les lois de la République en commettant des infractions. Et c’est la raison de leur condamnation.
Nonobstant leur statut des condamnés, ils demeurent des citoyens tchadiens à part entière et la République a besoin d'eux pour son développement. Au-delà de l'action punitive, l'objectif de la condamnation répressive est d'amener les condamnés à réfléchir sur l'acte délictuel ou criminel pour lequel ils ont été condamnés. Puis, à changer de comportement en vue d'une insertion sociale digne, responsable et citoyenne. Leur séjour en détention doit leur servir de leçon afin d'éviter la récidive. Selon le régisseur de la maison d'arrêt, Mahamat Saleh Hissein, rien que pour l'année 2020, 100 détenus de toutes catégories confondues ont été enregistrés. Il a souligné que la maison d'arrêt n'est pas un lieu de répression, loin encore un centre d'arrestation, il est un centre de rééducation, de correction mais aussi de réinsertion afin d'éviter la récidive.
Le secrétaire général du département de Dar-Tama, Mansour Abdoulaye, a enfin salué le courage des autorités judiciaires pour les efforts qu'ils fournissent à traiter cordialement les dossiers.
Selon le Procureur de la République près du TGI de Guereda, Adam Ibrahim Adam, c'est conformément aux attributions constitutionnelles présidentielles, notamment le droit de grâce que le président du CMT, président de la République Mahamat Idriss Deby a, en date du 30 juin 2021, signé le décret portant remise collective des peines aux condamnés de droit commun. Il a aussi précisé que les remises des peines dont il est question, ne préjudicient pas aux droits de l'État, des parties civiles et des tiers. Les condamnés ne peuvent bénéficier que d'une seule remise des peines pour leur condamnation en cours, a t-il ajouté. Pour lui, la maison d'arrêt de Guereda a une capacité d'accueil de 100 détenus, et contient actuellement 37 détenus (condamnés, prévenus et inculpés confondus). C'est-à-dire qu'il n'y a pas une surpopulation carcérale à l'instant.
Les condamnés bénéficiaires de la remise des peines sont au nombre de 13, tous majeurs et condamnés pour diverses infractions, notamment, la détention illégale d'arme à feu, vol, crime et blessures volontaires mortels. S'adressant aux bénéficiaires de cette remise des peines, le Procureur de la République, Adam Ibrahim Adam, a affirmé que s'ils se retrouvent à la maison d'arrêt, c'est parce qu'ils ont transgressé les lois de la République en commettant des infractions. Et c’est la raison de leur condamnation.
Nonobstant leur statut des condamnés, ils demeurent des citoyens tchadiens à part entière et la République a besoin d'eux pour son développement. Au-delà de l'action punitive, l'objectif de la condamnation répressive est d'amener les condamnés à réfléchir sur l'acte délictuel ou criminel pour lequel ils ont été condamnés. Puis, à changer de comportement en vue d'une insertion sociale digne, responsable et citoyenne. Leur séjour en détention doit leur servir de leçon afin d'éviter la récidive. Selon le régisseur de la maison d'arrêt, Mahamat Saleh Hissein, rien que pour l'année 2020, 100 détenus de toutes catégories confondues ont été enregistrés. Il a souligné que la maison d'arrêt n'est pas un lieu de répression, loin encore un centre d'arrestation, il est un centre de rééducation, de correction mais aussi de réinsertion afin d'éviter la récidive.
Le secrétaire général du département de Dar-Tama, Mansour Abdoulaye, a enfin salué le courage des autorités judiciaires pour les efforts qu'ils fournissent à traiter cordialement les dossiers.