La conduite en état d’ivresse à N’Djamena est une triste réalité, surtout pendant les weekends où de nombreux habitants fréquentent les bars.
Bien que le nouveau Code de la route, adopté en 2017 et entré en vigueur en 2023, interdise de conduire sous l’influence de l’alcool ou de stupéfiants, la police de la circulation ne dispose malheureusement pas d’équipement adéquat, notamment d’alcootests, en raison de contraintes logistiques.
Au Tchad, les routes causent plus de 2 650 décès par an, dont une grande partie touche les jeunes. Cependant, les statistiques sur les décès dus à la conduite en état d’ivresse sont absentes. Durant les weekends, choisir entre boire et conduire semble difficile pour certains usagers de la route, notamment ceux qui conduisent des engins à deux ou quatre roues, contribuant ainsi à des accidents.
La lutte contre l’alcool au volant est compliquée par le fait que les conducteurs soupçonnés d’ivresse ne sont pas toujours emmenés au poste de police en cas d’accident. Certains parviennent même à intimider les agents de circulation, refusent d’être interpellés, ou trouvent des arrangements pour faire soigner les blessés, tout en rentrant tranquillement chez eux.
Cette situation montre clairement que la législation sur l’alcool au volant fait face à des défis logistiques, et un manque de rigueur dans l’application du Code de la route, ce qui freine l’efficacité de la réglementation.
Dans une ville où les débits de boissons représentent les principaux lieux de loisirs, il est essentiel de renforcer les contrôles et de sanctionner les conducteurs en état d’ivresse, pour assurer la sécurité des usagers. Pour faire face à cette situation, des tests d’alcoolémie obligatoires devraient être effectués sur les conducteurs roulant à grande vitesse aux heures tardives, afin de limiter les accidents nocturnes pendant les weekends.
L’alcool au volant est la principale cause de mortalité routière, mais à N’Djamena, les forces de sécurité routière abordent encore trop légèrement le phénomène de la conduite en état d’ivresse.
Bien que le nouveau Code de la route, adopté en 2017 et entré en vigueur en 2023, interdise de conduire sous l’influence de l’alcool ou de stupéfiants, la police de la circulation ne dispose malheureusement pas d’équipement adéquat, notamment d’alcootests, en raison de contraintes logistiques.
Au Tchad, les routes causent plus de 2 650 décès par an, dont une grande partie touche les jeunes. Cependant, les statistiques sur les décès dus à la conduite en état d’ivresse sont absentes. Durant les weekends, choisir entre boire et conduire semble difficile pour certains usagers de la route, notamment ceux qui conduisent des engins à deux ou quatre roues, contribuant ainsi à des accidents.
La lutte contre l’alcool au volant est compliquée par le fait que les conducteurs soupçonnés d’ivresse ne sont pas toujours emmenés au poste de police en cas d’accident. Certains parviennent même à intimider les agents de circulation, refusent d’être interpellés, ou trouvent des arrangements pour faire soigner les blessés, tout en rentrant tranquillement chez eux.
Cette situation montre clairement que la législation sur l’alcool au volant fait face à des défis logistiques, et un manque de rigueur dans l’application du Code de la route, ce qui freine l’efficacité de la réglementation.
Dans une ville où les débits de boissons représentent les principaux lieux de loisirs, il est essentiel de renforcer les contrôles et de sanctionner les conducteurs en état d’ivresse, pour assurer la sécurité des usagers. Pour faire face à cette situation, des tests d’alcoolémie obligatoires devraient être effectués sur les conducteurs roulant à grande vitesse aux heures tardives, afin de limiter les accidents nocturnes pendant les weekends.
L’alcool au volant est la principale cause de mortalité routière, mais à N’Djamena, les forces de sécurité routière abordent encore trop légèrement le phénomène de la conduite en état d’ivresse.