Par Mahamat Assileck HALATA
LES CHANTS DE CHRYSANTHEME
Le vent de la liberté se fera sans or ni argent,
La cassure des chaines est à porté de main.
Pères, mères, frères, hommes,
Ils y sont ces frères chantant nos psaumes,
Ils vont y aller ce soir ou demain,
Avec courage, à la chaire de nos paumes.
Demain oui, au petit matin,
Sinon le soir au crépuscule des chaumes.
Le vent de la liberté est glande de paix et vertu,
A nos sœurs et mères il faut rendre l’honneur perdu.
La casse d’une noix ne se fera jamais sans peine,
Sœur, frère je viens te rendre l’humilité Hellène.
Tant d’injustice à nos rancœurs rassasiées,
Que même trop de vaines en soient spoliées.
Cette fois ci, feux, étincelles, et braises,
Au pire la déesse de la fournaise.
Le vent va souffler encore à nouveau,
Pour nos martyrs des lauriers sur les tombeaux.
MAHAMAT ASSILECK HALATA
Le vent de la liberté se fera sans or ni argent,
La cassure des chaines est à porté de main.
Pères, mères, frères, hommes,
Ils y sont ces frères chantant nos psaumes,
Ils vont y aller ce soir ou demain,
Avec courage, à la chaire de nos paumes.
Demain oui, au petit matin,
Sinon le soir au crépuscule des chaumes.
Le vent de la liberté est glande de paix et vertu,
A nos sœurs et mères il faut rendre l’honneur perdu.
La casse d’une noix ne se fera jamais sans peine,
Sœur, frère je viens te rendre l’humilité Hellène.
Tant d’injustice à nos rancœurs rassasiées,
Que même trop de vaines en soient spoliées.
Cette fois ci, feux, étincelles, et braises,
Au pire la déesse de la fournaise.
Le vent va souffler encore à nouveau,
Pour nos martyrs des lauriers sur les tombeaux.
MAHAMAT ASSILECK HALATA