Pouvoir dynastique installé, Mahamat Idriss Deby investi, président jusqu'à la mort… Que vous le voulez, ou pas, le pouvoir c'est Dieu qui donne.
Le ministre de la Jeunesse, Mahamoud Seid Ali a raison : seul le « représentant de Dieu sur terre » est capable de remettre en marche le compteur de la machine de détournements des fonds publics en marche. La présence de Idriss Youssouf Boy en témoigne.
Devenir président par la voie des urnes n'est qu'un souvenir lointain pour ceux qui attendent les élections d'ici deux ans. Car le défunt Oumar Bongo du Gabon disait : « il faut être bête pour organiser les élections et les perdre ». La seule voie de tous les présidents « dictato-démocrates », est de mourir au pouvoir.
Désormais, Mahamat Idriss Deby change d'appellation, en devenant président de la transition. Malheureusement, dès aujourd'hui, il creuse son propre tombeau. Ceux qui pensent que ce jeune militaire fera mieux que son défunt père, regretteront plus tard.
Bravo aux ténors du pouvoir en légitimant le pouvoir de Mahamat Kaka : ils sont à l'abri des poursuites pour les fonds mal acquis, et d'autres crimes. Sinon, comment peut-on comprendre qu'un vieux comme Haroun Kabadi Jacques s'accroche au fauteuil, malgré la fragilité de sa santé ?
Quant au peuple tchadien qui croit que seul Dieu est capable de répondre à la question de la mal gouvernance, il aura raison avec le temps. Mais pour l'heure, Mahamat Idriss Deby cherche à convaincre l'opinion internationale et l'UA pour s'éterniser au pouvoir. Même la pression de ceux-là fait peur : un « morceau de viande » suffit à faire taire les « aboiements d'un chien ».
Maintenant, il faut attendre de voir si l'opinion internationale et l'UA ne joueront pas au « maître chanteur ». Et tout porte à croire que cette nouvelle aventure ne sera pas facile. Mahamat Idriss Deby, désormais, entre dans l'histoire des hommes démagogues. Jean-Paul Sartre avait raison, car en politique, « tous les moyens sont bons, pourvu qu'ils soient efficaces".
Les bruits des hostilités ne tarderont pas. Cela étant, l’on attend de voir ce que l'avenir réserve au peuple tchadien, face aux vendeurs d'illustrations.
Le ministre de la Jeunesse, Mahamoud Seid Ali a raison : seul le « représentant de Dieu sur terre » est capable de remettre en marche le compteur de la machine de détournements des fonds publics en marche. La présence de Idriss Youssouf Boy en témoigne.
Devenir président par la voie des urnes n'est qu'un souvenir lointain pour ceux qui attendent les élections d'ici deux ans. Car le défunt Oumar Bongo du Gabon disait : « il faut être bête pour organiser les élections et les perdre ». La seule voie de tous les présidents « dictato-démocrates », est de mourir au pouvoir.
Désormais, Mahamat Idriss Deby change d'appellation, en devenant président de la transition. Malheureusement, dès aujourd'hui, il creuse son propre tombeau. Ceux qui pensent que ce jeune militaire fera mieux que son défunt père, regretteront plus tard.
Bravo aux ténors du pouvoir en légitimant le pouvoir de Mahamat Kaka : ils sont à l'abri des poursuites pour les fonds mal acquis, et d'autres crimes. Sinon, comment peut-on comprendre qu'un vieux comme Haroun Kabadi Jacques s'accroche au fauteuil, malgré la fragilité de sa santé ?
Quant au peuple tchadien qui croit que seul Dieu est capable de répondre à la question de la mal gouvernance, il aura raison avec le temps. Mais pour l'heure, Mahamat Idriss Deby cherche à convaincre l'opinion internationale et l'UA pour s'éterniser au pouvoir. Même la pression de ceux-là fait peur : un « morceau de viande » suffit à faire taire les « aboiements d'un chien ».
Maintenant, il faut attendre de voir si l'opinion internationale et l'UA ne joueront pas au « maître chanteur ». Et tout porte à croire que cette nouvelle aventure ne sera pas facile. Mahamat Idriss Deby, désormais, entre dans l'histoire des hommes démagogues. Jean-Paul Sartre avait raison, car en politique, « tous les moyens sont bons, pourvu qu'ils soient efficaces".
Les bruits des hostilités ne tarderont pas. Cela étant, l’on attend de voir ce que l'avenir réserve au peuple tchadien, face aux vendeurs d'illustrations.