Suite au malheureux événement survenu à Sandana, les ressortissants et sympathisants du grand Moyen Chari, ont marché le 15 février pour revendiquer la dignité et la justice. Après cette marche, l’heure est bilan. « Au total 18 personnes ont blessé dont 13 femmes et cinq hommes », indique le président du comité de crise. Et cela en dépit de la présence de l’archevêque métropolitain pour la ville de N’Djamena, Mgr Edmond Djitangar Goetbé.
Le bilan mentionne des cas de blessures graves. « Le cas le plus grave est celui de Mademoiselle Ndad-nouba Ingrid Yambaye qui a perdu son œil gauche suite à l'impact d'une grenade », note Me Hissein Ngaro. Il ajoute que des balles réelles ont été également tirées sur des citoyens. Ils ont eu des traumatismes crâniens et au genou, nécessitant une prise en charge traumatologique.
Les ressortissants et sympathisants du grand Moyen Chari et d’autres provinces exigent que des enquêtes indépendante soient diligentées en collaboration avec les organisations nationales et internationales des droits de l’Homme pour que les auteurs du massacre de 13 paisibles citoyens de Sandana soient arrêtés et jugés.
Le bilan mentionne des cas de blessures graves. « Le cas le plus grave est celui de Mademoiselle Ndad-nouba Ingrid Yambaye qui a perdu son œil gauche suite à l'impact d'une grenade », note Me Hissein Ngaro. Il ajoute que des balles réelles ont été également tirées sur des citoyens. Ils ont eu des traumatismes crâniens et au genou, nécessitant une prise en charge traumatologique.
Les ressortissants et sympathisants du grand Moyen Chari et d’autres provinces exigent que des enquêtes indépendante soient diligentées en collaboration avec les organisations nationales et internationales des droits de l’Homme pour que les auteurs du massacre de 13 paisibles citoyens de Sandana soient arrêtés et jugés.