Les rebelles tchadiens ont réclamé avoir touché un deuxième avion des forces de défense et de sécurité à l’est du pays. Le Porte-parole du gouvernement tchadien, Mahamat Hisseine, a affirmé jeudi qu’« un hélicoptère de l’armée a eu des ennuis de moteur à son atterrissage à la base militaire d’Abéché. » Le Président de l’Alliance Nationale, Mahamat Nouri, n’a pas démenti les propos de son homonyme du camp adverse. Il a précisé néanmoins que « les ennuis du moteur de l’hélicoptère ont commencé quand il survolait nos positions. » Ce qui signifie, en d’autres termes, que l’appareil a été effectivement touché par les rebelles.
Si cette information se confirme, des trois hélicoptères de combat que l’armée tchadienne a déployés à la base militaire d’Abéché dans l’extrême est du Tchad fin février pour procéder à des frappes préventives et parer à certaines éventualités, il n’en resterait plus qu’un.
Selon une source proche des rebelles, la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin a été très calme. « Nos positions n’ont pas été survolées par l’aviation de l’ennemi la nuit dernière », a affirmé cette source. « Nous n’avons entendu aucun bruit d’avion assourdissant comme on en a l’habitude ces derniers temps pendant la nuit », a précisé cette même source. « Les heures qui viennent risquent d’être décisives », martèle un autre rebelle responsable de l’UFCD.
A suivre.
Kébir
Si cette information se confirme, des trois hélicoptères de combat que l’armée tchadienne a déployés à la base militaire d’Abéché dans l’extrême est du Tchad fin février pour procéder à des frappes préventives et parer à certaines éventualités, il n’en resterait plus qu’un.
Selon une source proche des rebelles, la nuit du jeudi 12 au vendredi 13 juin a été très calme. « Nos positions n’ont pas été survolées par l’aviation de l’ennemi la nuit dernière », a affirmé cette source. « Nous n’avons entendu aucun bruit d’avion assourdissant comme on en a l’habitude ces derniers temps pendant la nuit », a précisé cette même source. « Les heures qui viennent risquent d’être décisives », martèle un autre rebelle responsable de l’UFCD.
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Kébir