Le ministre de la Santé publique, Dr. Abdoulaye Sabre Fadoul, a adressé lundi une note d'information aux établissements sanitaires privés (cliniques, cabinets médicaux, cabinets de soins infirmiers et/ou dentaires, grossistes répartiteurs, officines de pharmacie et dépôts pharmaceutiques, laboratoires d'analyse médicales et cabinets d'imageries médicales).
Il a porté à la connaissance des propriétaires et gérants qu'il sera mis en place, dans les jours à venir, une commission de contrôle de conformité et de normalisation, qui lancera une grande opération de vérification du respect de la réglementation en vigueur encadrant les activités desdites structures.
À l'issue de ce contrôle, tout établissement sanitaire ne respectant pas les conditions législatives et règlementaires propres à son domaine d'activités s'exposera à sa fermeture avec retrait définitif de l'autorisation administrative.
Le ministre demande aux personnes physiques et morales concernées de se mettre en règle tant vis-à-vis des obligations administratives que celles liées aux normes en matière d'infrastructures, avant qu'il ne soit trop tard.
"Aucun manquement ne sera toléré et aucun passe-droit ne sera accordé, au détriment de la santé de nos compatriotes", précise le ministre.
Il a porté à la connaissance des propriétaires et gérants qu'il sera mis en place, dans les jours à venir, une commission de contrôle de conformité et de normalisation, qui lancera une grande opération de vérification du respect de la réglementation en vigueur encadrant les activités desdites structures.
À l'issue de ce contrôle, tout établissement sanitaire ne respectant pas les conditions législatives et règlementaires propres à son domaine d'activités s'exposera à sa fermeture avec retrait définitif de l'autorisation administrative.
Le ministre demande aux personnes physiques et morales concernées de se mettre en règle tant vis-à-vis des obligations administratives que celles liées aux normes en matière d'infrastructures, avant qu'il ne soit trop tard.
"Aucun manquement ne sera toléré et aucun passe-droit ne sera accordé, au détriment de la santé de nos compatriotes", précise le ministre.