Interpellé en février 2016 dans la ville d'Essaouira, il a été condamné mercredi soir en appel par la Cour d'appel du tribunal de Salé près de Rabat à quatre ans de prison pour appartenance présumée à une cellule "terroriste".
2 ans de moins... En première instance, il avait été condamné en juillet à six ans de prison pour "soutien financier" à des personnes ayant voulu perpétrer des actes terroristes.
Thomas Gallay a toujours nié les faits. Assis mercredi à côté d'un interprète, il a manifesté à maintes reprises son incompréhension en hochant la tête à l'écoute du réquisitoire du procureur.
L'ambassade de France à Rabat a déclaré nombreuses fois que le ministère des Affaires étrangères suit "avec attention" la situation de Thomas Gallay "dans le respect de l'indépendance de la justice marocaine".
Le procureur, quant à lui, a affirmé que "toute la procédure a été faite dans le respect de la loi" et a critiqué les "mensonges de la presse étrangère".
Selon sa mère, Béatrice Gallay, son fils n'est "même pas converti à l'islam" et a été condamné sur la base de "faux aveux" que la police lui aurait fait signer en arabe, une langue qu'il ne parle pas.
2 ans de moins... En première instance, il avait été condamné en juillet à six ans de prison pour "soutien financier" à des personnes ayant voulu perpétrer des actes terroristes.
Thomas Gallay a toujours nié les faits. Assis mercredi à côté d'un interprète, il a manifesté à maintes reprises son incompréhension en hochant la tête à l'écoute du réquisitoire du procureur.
L'ambassade de France à Rabat a déclaré nombreuses fois que le ministère des Affaires étrangères suit "avec attention" la situation de Thomas Gallay "dans le respect de l'indépendance de la justice marocaine".
Le procureur, quant à lui, a affirmé que "toute la procédure a été faite dans le respect de la loi" et a critiqué les "mensonges de la presse étrangère".
Selon sa mère, Béatrice Gallay, son fils n'est "même pas converti à l'islam" et a été condamné sur la base de "faux aveux" que la police lui aurait fait signer en arabe, une langue qu'il ne parle pas.