
Lomé - La première session ordinaire de l’année 2017 a été clôturée ce vendredi à Lomé au siège de l’Assemblée nationale. Les travaux de cette séance plénière ont été présidés par le président du Parlement Dama Dramani.
C’est la onzième séance plénière qui a marqué la fin de la première session ordinaire de l’année 2017 à l’Assemblée nationale. Au cours de leurs travaux, les députés ont examiné sept projets de loi. Les élus du peuple ont adopté trois projets de loi de ratification.
Les députés ont procédé à l’adoption à l’unanimité du projet de loi autorisant le gouvernement à ratifier « l’accord portant création de l'institution de la mutuelle panafricaine de gestion des risques (ARC) désignée sous l’acronyme anglais African Risk Capacity ».
La mutuelle panafricaine de gestion des risques (ARC) vise à permettre aux États membres de « réduire le risque de pertes et de dommages causés par des événements météorologiques extrêmes et des catastrophes naturelles qui affectent les populations africaines en fournissant des réponses ciblées aux désastres plus rapidement et de manière financièrement avantageuse, objective et transparente ».
Grâce à l’adoption de la loi autorisant la ratification de l’accord portant création de l’ARC, le Togo va « bénéficier des renforcements des capacités et des assistances financières en cas de survenance de catastrophes naturelles ».
C’est la onzième séance plénière qui a marqué la fin de la première session ordinaire de l’année 2017 à l’Assemblée nationale. Au cours de leurs travaux, les députés ont examiné sept projets de loi. Les élus du peuple ont adopté trois projets de loi de ratification.
Les députés ont procédé à l’adoption à l’unanimité du projet de loi autorisant le gouvernement à ratifier « l’accord portant création de l'institution de la mutuelle panafricaine de gestion des risques (ARC) désignée sous l’acronyme anglais African Risk Capacity ».
La mutuelle panafricaine de gestion des risques (ARC) vise à permettre aux États membres de « réduire le risque de pertes et de dommages causés par des événements météorologiques extrêmes et des catastrophes naturelles qui affectent les populations africaines en fournissant des réponses ciblées aux désastres plus rapidement et de manière financièrement avantageuse, objective et transparente ».
Grâce à l’adoption de la loi autorisant la ratification de l’accord portant création de l’ARC, le Togo va « bénéficier des renforcements des capacités et des assistances financières en cas de survenance de catastrophes naturelles ».