
Lomé, le 23 Février 2017- Une rencontre d’échanges entre le ministère de l’environnement et des ressources forestières, et les responsables de la Coordination Nationale du projet de Réduction des Emissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des forêts (REDD+) s’est déroulée ce mercredi à Lomé.
La réunion a porté essentiellement sur l’organisation des travaux de l’évaluation environnementale et sociale stratégique (EESS) ainsi que sur leurs rôles et responsabilités.
La rencontre de Lomé découle de sept (7) autres organisées précédemment à l’intérieur du pays. Il s’agit d’évaluer les impacts positifs ou négatifs des options stratégiques REDD+ sur l’environnement et sur l’homme. Les participants espèrent à partir des échanges, pouvoir confirmer ou modifier les options stratégiques REDD+ initialement proposées, et ensuite proposer des actions correctives pour les impacts négatifs décelés.
« Le but visé est d’échanger avec les acteurs sur l’importance de l’intégration des mesures de sauvegardes environnementales et sociales dans le processus d’élaboration de la stratégie nationale REDD+, en plus, les informer sur les prochaines étapes du processus EESS », a laissé entendre un responsable du ministère de l’environnement.
Pour mener à bien le projet, les organisateurs ont préparé des séries de réunions sur deux phases : la première, pour Lomé-commune et Tsévié et l’autre, pour l’intérieur du pays.
A l’issue de ces différentes rencontres, les organisateurs attendent des bénéficiaires du projet, une maîtrise de l’importance de l’intégration des mesures de sauvegardes environnementales et sociales. En outre, les acteurs devront également à la fin du projet mettre une différence entre l’EESS et l’Etude d’Impact Environnemental (EIE).
La réunion a porté essentiellement sur l’organisation des travaux de l’évaluation environnementale et sociale stratégique (EESS) ainsi que sur leurs rôles et responsabilités.
La rencontre de Lomé découle de sept (7) autres organisées précédemment à l’intérieur du pays. Il s’agit d’évaluer les impacts positifs ou négatifs des options stratégiques REDD+ sur l’environnement et sur l’homme. Les participants espèrent à partir des échanges, pouvoir confirmer ou modifier les options stratégiques REDD+ initialement proposées, et ensuite proposer des actions correctives pour les impacts négatifs décelés.
« Le but visé est d’échanger avec les acteurs sur l’importance de l’intégration des mesures de sauvegardes environnementales et sociales dans le processus d’élaboration de la stratégie nationale REDD+, en plus, les informer sur les prochaines étapes du processus EESS », a laissé entendre un responsable du ministère de l’environnement.
Pour mener à bien le projet, les organisateurs ont préparé des séries de réunions sur deux phases : la première, pour Lomé-commune et Tsévié et l’autre, pour l’intérieur du pays.
A l’issue de ces différentes rencontres, les organisateurs attendent des bénéficiaires du projet, une maîtrise de l’importance de l’intégration des mesures de sauvegardes environnementales et sociales. En outre, les acteurs devront également à la fin du projet mettre une différence entre l’EESS et l’Etude d’Impact Environnemental (EIE).