Lomé - D'après un document rendu public par le gouvernement togolais, de 2014 à 2015, les dépenses de nutrition ont connu une augmentation passant de 6,5 à 7,5 milliards FCFA. Un niveau qui sera maintenu en 2016 avant de fléchir à 5,1 milliards FCFA en 2017.
Ces allocations budgétaires ont permis la réalisation de plusieurs programmes et projets induisant une amélioration significative, sur la période 2015-2018, du taux de couverture des besoins en produits vivriers, du taux de couverture en produits d'élevage et en produits halieutiques ainsi que de la prévalence de la malnutrition.
Ainsi, le taux de malnutrition a baissé de 6,5 % en 2014 à 5,7 % en 2017, soit une baisse de 0,8 point. Alors que le retard de croissance qui est signe de malnutrition chronique, caractérisée par une taille trop petite pour l’âge est passé de 27,5 % en 2014 à 23,8 % en 2017, soit une amélioration de 3,7 %. L'insuffisance pondérale a connu une faible amélioration passant de 16,0 % en 2014 à 15,2 % en 2017, soit une baisse de 0,8 point, informe le gouvernement dans le document.
S’agissant de la promotion des filières animales, le document indique aussi des avancées significatives. Ils sont entre autres, la vaccination et le déparasitage de 4 168 650 petits ruminants et 126 087 007 volailles, la distribution de géniteurs de volailles, la construction des Poulaillers traditionnels améliorés (PTA) et des Bergeries traditionnelles améliorées (BTA) ainsi que la distribution des kits de PTA et des kits de BTA.
Au niveau de la production halieutique, il est mentionné la production et la distribution de 2 100 géniteurs de tilapias et 165 géniteurs de clarias à 3 écloseries privées en activité, la construction de 52 fours améliorés (sur les 64 prévus) au profit des transformatrices de poissons du lac de Nangbéto.
Pour atteindre ces résultats significatifs, plusieurs réformes ont été opérées dans le secteur agricole. Il s'agit entre autres : de l'élaboration de la politique agricole du Togo pour la période 2016-2030, de la consolidation et l'implantation de 20 Entreprises de services et organisations de producteurs (ESOP), de l'appui des acteurs pour le développement de sept opérations pilotes de warrantage et des sous-projets productifs du Projet d’Appui au Secteur Agricole (PASA) mais surtout le programme des cantines scolaires par le biais duquel plus de 31 millions de repas chauds ont été distribués à des enfants, contribuant ainsi à l’amélioration de leur nutrition.
Ces allocations budgétaires ont permis la réalisation de plusieurs programmes et projets induisant une amélioration significative, sur la période 2015-2018, du taux de couverture des besoins en produits vivriers, du taux de couverture en produits d'élevage et en produits halieutiques ainsi que de la prévalence de la malnutrition.
Ainsi, le taux de malnutrition a baissé de 6,5 % en 2014 à 5,7 % en 2017, soit une baisse de 0,8 point. Alors que le retard de croissance qui est signe de malnutrition chronique, caractérisée par une taille trop petite pour l’âge est passé de 27,5 % en 2014 à 23,8 % en 2017, soit une amélioration de 3,7 %. L'insuffisance pondérale a connu une faible amélioration passant de 16,0 % en 2014 à 15,2 % en 2017, soit une baisse de 0,8 point, informe le gouvernement dans le document.
S’agissant de la promotion des filières animales, le document indique aussi des avancées significatives. Ils sont entre autres, la vaccination et le déparasitage de 4 168 650 petits ruminants et 126 087 007 volailles, la distribution de géniteurs de volailles, la construction des Poulaillers traditionnels améliorés (PTA) et des Bergeries traditionnelles améliorées (BTA) ainsi que la distribution des kits de PTA et des kits de BTA.
Au niveau de la production halieutique, il est mentionné la production et la distribution de 2 100 géniteurs de tilapias et 165 géniteurs de clarias à 3 écloseries privées en activité, la construction de 52 fours améliorés (sur les 64 prévus) au profit des transformatrices de poissons du lac de Nangbéto.
Pour atteindre ces résultats significatifs, plusieurs réformes ont été opérées dans le secteur agricole. Il s'agit entre autres : de l'élaboration de la politique agricole du Togo pour la période 2016-2030, de la consolidation et l'implantation de 20 Entreprises de services et organisations de producteurs (ESOP), de l'appui des acteurs pour le développement de sept opérations pilotes de warrantage et des sous-projets productifs du Projet d’Appui au Secteur Agricole (PASA) mais surtout le programme des cantines scolaires par le biais duquel plus de 31 millions de repas chauds ont été distribués à des enfants, contribuant ainsi à l’amélioration de leur nutrition.