La ministre secrétaire général de la présidence de la République, Mme Sandra Ablamba Johnson, représentait le Togo, le 17 septembre dernier, à une réunion ministérielle des Pays les moins avancés (PMA). Cette rencontre de haut niveau, organisée par visioconférence, a été l’occasion pour la ministre de présenter la situation économique nationale, impactée par la crise sanitaire, ainsi que les mécanismes mis en place pour la relance post-Covid-19.
« La crise du Covid-19 a été inédite dans son ampleur et dans sa soudaineté. Elle a occasionné des pertes estimées à presque 4 points de pourcentage du PIB », a révélé Mme Sandra Ablamba Johnson dans son intervention. Pour amorcer la reprise graduelle de l’économie nationale, le gouvernement a, selon elle, réajusté sa stratégie de développement, à travers l’adoption d’une feuille de route pour la période 2020-2025. L’objectif étant de « faire du Togo, un pays de cohésion et de paix, et une Nation moderne, avec une croissance économique inclusive et durable », a-t-elle précisé, avant de rappeler la stratégie mise en place par le gouvernement à travers les 3R qui signifie : Riposte-Résilience-Relance. Il s’agit de contenir la maladie, assurer la croissance et atteindre les prévisions de croissance estimées à 4,8% pour l’année 2021.
Le Togo compte poursuivre sa stratégie de promotion des investissements dans les secteurs à fort potentiel, marquée notamment par l’opérationnalisation de la Plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA) et la mise en service des centrales solaires, a-t-elle annoncé. A cette rencontre internationale, la ministre Sandra Ablamba Johnson est également revenue sur les nouvelles mesures sanitaires et sociales décidées par le gouvernement, pour soutenir les couches les plus vulnérables de la société togolaise. Ces mesures sont notamment, l’intensification de la campagne de vaccination de masse, la gratuité des frais de scolarité et d’inscription dans les établissements publics d’enseignement secondaire, la gratuité des tranches sociales d’eau et d’électricité pour le mois d’août, ainsi que le programme d’accompagnement des femmes enceintes et nouveau-nés, « WEZOU » (la vie en langue locale).
Face à la réduction drastique des flux de financements vers les PMA, due à la crise sanitaire, la ministre Sandra Johnson a plaidé pour une mobilisation accrue des ressources en vue d’une riposte plus efficace contre la pandémie et la relance effective des économies africaines post-Covid-19. Elle a pour finir solliciter l’appui des Nations Unies pour la mobilisation des partenaires internationaux et des institutions financières à travers l’allocation des Droits de tirage spéciaux (DTS) pour soutenir la relance des économies africaines et l’accès universel aux vaccins.
Pour rappel, les Pays les moins avancés sont une catégorie de pays créée en 1971 par les Nations Unies et qui regroupe les pays de la planète les moins développés sur le plan socioéconomique, sur la base de certains critères. A ce jour, 46 nations (dont plus de 30 en Afrique) appartiennent à ce groupe.
« La crise du Covid-19 a été inédite dans son ampleur et dans sa soudaineté. Elle a occasionné des pertes estimées à presque 4 points de pourcentage du PIB », a révélé Mme Sandra Ablamba Johnson dans son intervention. Pour amorcer la reprise graduelle de l’économie nationale, le gouvernement a, selon elle, réajusté sa stratégie de développement, à travers l’adoption d’une feuille de route pour la période 2020-2025. L’objectif étant de « faire du Togo, un pays de cohésion et de paix, et une Nation moderne, avec une croissance économique inclusive et durable », a-t-elle précisé, avant de rappeler la stratégie mise en place par le gouvernement à travers les 3R qui signifie : Riposte-Résilience-Relance. Il s’agit de contenir la maladie, assurer la croissance et atteindre les prévisions de croissance estimées à 4,8% pour l’année 2021.
Le Togo compte poursuivre sa stratégie de promotion des investissements dans les secteurs à fort potentiel, marquée notamment par l’opérationnalisation de la Plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA) et la mise en service des centrales solaires, a-t-elle annoncé. A cette rencontre internationale, la ministre Sandra Ablamba Johnson est également revenue sur les nouvelles mesures sanitaires et sociales décidées par le gouvernement, pour soutenir les couches les plus vulnérables de la société togolaise. Ces mesures sont notamment, l’intensification de la campagne de vaccination de masse, la gratuité des frais de scolarité et d’inscription dans les établissements publics d’enseignement secondaire, la gratuité des tranches sociales d’eau et d’électricité pour le mois d’août, ainsi que le programme d’accompagnement des femmes enceintes et nouveau-nés, « WEZOU » (la vie en langue locale).
Face à la réduction drastique des flux de financements vers les PMA, due à la crise sanitaire, la ministre Sandra Johnson a plaidé pour une mobilisation accrue des ressources en vue d’une riposte plus efficace contre la pandémie et la relance effective des économies africaines post-Covid-19. Elle a pour finir solliciter l’appui des Nations Unies pour la mobilisation des partenaires internationaux et des institutions financières à travers l’allocation des Droits de tirage spéciaux (DTS) pour soutenir la relance des économies africaines et l’accès universel aux vaccins.
Pour rappel, les Pays les moins avancés sont une catégorie de pays créée en 1971 par les Nations Unies et qui regroupe les pays de la planète les moins développés sur le plan socioéconomique, sur la base de certains critères. A ce jour, 46 nations (dont plus de 30 en Afrique) appartiennent à ce groupe.