Après avoir rencontré les membres du Conseil national de la transition, le ministre des Affaires étrangères, Dr Morissanda Kouyaté et le premier ministre Mohamed Béavogui, la délégation a été reçue par le président de la transition, le colonel Mamadi Doumbouya, au Palais Mohammed V, dans l’après-midi du 28 février 2022.
Au cours de leur entretien, la mission, dirigée par la ministre ghanéenne des Affaires étrangères, Shirley Ayorkor Botchway, a félicité les autorités guinéennes pour la mise en place du CNT, avant d’exprimer tout son soutien au processus d’une transition apaisée en Guinée.
Au sortir de l’audience, la ministre des Affaires étrangères du Ghana a déclaré : « nous allons rapporter fidèlement aux autorités, aux chefs d’État de la CEDEAO, ce qui a été retenu. Il y a une chose qu’il faut vraiment noter, c’est que la Guinée ne sera jamais laissée tomber. La CEDEAO va vraiment soutenir la Guinée ».
De son côté, Mahamat Saleh Annadif, chef du bureau des Nations unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel s’est réjoui des avancées dans la transition en Guinée : « Par expérience, nous avons expliqué aux autorités de la transition que chaque fois que nous avons une mission conjointe Nations-Unies-CEDEAO, les résultats sont plus efficaces et ils sont utiles, pour sortir de crise. Nous avons surtout félicité les autorités de la Transition pour ce qui a été fait, notamment la mise en place du CNT que nous avons rencontré et dans notre rencontre, nous, au niveau des Nations Unies, nous leur avons fait comprendre leur rôle historique dans cette transition qui leur donne une responsabilité en ce qui concerne la durée du processus. Nous leur avons réitéré qu’une Transition pose les jalons qui peuvent consolider les acquis et se projeter vers l’avenir ».
« Dans cette phase, nous leur avons dit que les Nations Unies et l’Union Africaine sont à leurs côtés, pour les aider à parachever la feuille de route, le chronogramme, pour qu’on puisse au moins cette fois-ci sortir, aller vers des élections apaisées et une réconciliation de cœur et d’esprit de nos frères et sœurs Guinéens », a ajouté Mahamat Saleh Annadif.
« Nous sommes très heureux qu’ils aient compris qu’il n’y a pas d’autre agenda ici que l’agenda du pays lui-même et nous nous mettons entièrement à leur disposition et le Président l’a réitéré. Nous sommes heureux de savoir qu’ils accompagnent ce que nous proposons et les propositions viendront du pays, des populations guinéennes, pour que cela soit la dernière transition. Parce que si nous bâclons les choses, comme le président l’a déclaré, nous serons obligés de revenir à d’autres transitions », a affirmé pour sa part le chef de la diplomatie guinéenne Dr. Morissanda Kouyaté.
Au cours de leur entretien, la mission, dirigée par la ministre ghanéenne des Affaires étrangères, Shirley Ayorkor Botchway, a félicité les autorités guinéennes pour la mise en place du CNT, avant d’exprimer tout son soutien au processus d’une transition apaisée en Guinée.
Au sortir de l’audience, la ministre des Affaires étrangères du Ghana a déclaré : « nous allons rapporter fidèlement aux autorités, aux chefs d’État de la CEDEAO, ce qui a été retenu. Il y a une chose qu’il faut vraiment noter, c’est que la Guinée ne sera jamais laissée tomber. La CEDEAO va vraiment soutenir la Guinée ».
De son côté, Mahamat Saleh Annadif, chef du bureau des Nations unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel s’est réjoui des avancées dans la transition en Guinée : « Par expérience, nous avons expliqué aux autorités de la transition que chaque fois que nous avons une mission conjointe Nations-Unies-CEDEAO, les résultats sont plus efficaces et ils sont utiles, pour sortir de crise. Nous avons surtout félicité les autorités de la Transition pour ce qui a été fait, notamment la mise en place du CNT que nous avons rencontré et dans notre rencontre, nous, au niveau des Nations Unies, nous leur avons fait comprendre leur rôle historique dans cette transition qui leur donne une responsabilité en ce qui concerne la durée du processus. Nous leur avons réitéré qu’une Transition pose les jalons qui peuvent consolider les acquis et se projeter vers l’avenir ».
« Dans cette phase, nous leur avons dit que les Nations Unies et l’Union Africaine sont à leurs côtés, pour les aider à parachever la feuille de route, le chronogramme, pour qu’on puisse au moins cette fois-ci sortir, aller vers des élections apaisées et une réconciliation de cœur et d’esprit de nos frères et sœurs Guinéens », a ajouté Mahamat Saleh Annadif.
« Nous sommes très heureux qu’ils aient compris qu’il n’y a pas d’autre agenda ici que l’agenda du pays lui-même et nous nous mettons entièrement à leur disposition et le Président l’a réitéré. Nous sommes heureux de savoir qu’ils accompagnent ce que nous proposons et les propositions viendront du pays, des populations guinéennes, pour que cela soit la dernière transition. Parce que si nous bâclons les choses, comme le président l’a déclaré, nous serons obligés de revenir à d’autres transitions », a affirmé pour sa part le chef de la diplomatie guinéenne Dr. Morissanda Kouyaté.