Le commandant de bataillon du groupement anti-terroriste, Mahamat Galmaye Wordougou.
Le commandant de bataillon du groupement anti-terroriste, Mahamat Galmaye Wordougou, a été littéralement emporté par une mine posée par des présumés éléments de Boko Haram, mardi 17 septembre 2019 à Kaiga Kindjiria dans la province du Lac Tchad.
Cet officier quittait Kaga Kindjiria à bord de son véhicule pour se rendre à Nguiguimi. Il devait escorter des étudiants tchadiens en provenance du Burkina Faso qui ont transité par le Niger via le Lac Tchad.
Le commandant de bataillon du groupement anti-terroriste, Mahamat Galmaye Wordougou, a accepté de sacrifier sa propre vie pour sauver la vie des étudiants afin de les mettre à l’abri de toute éventuelle attaque de Boko Haram.
Les militaires tchadiens appartenant au corps d’élite anti-terroriste ont l’habitude de ramener les étudiants en provenance d’autres pays qui transitent par le Niger pour franchir les frontières tchadiennes.
Le courage et le patriotisme de cet officier de l’armée tchadienne qui a préféré l’emblème de son pays au prix de sa vie, mérite d'être salué.
Ce martyr est décrit par ses compagnons d'armes comme téméraire, sociable, discipliné et capable de gérer une situation difficile. Il est de la 26ème promotion de l'école des officiers.
Le commandant de bataillon du groupement anti-terroriste, Mahamat Galmaye Wordougou, est lauréat de la 26ème promotion du groupement militaire interarmées.
A la fin de sa formation, il fut affecté en 2015 au groupement spécial anti-terroriste comme chef de section au bataillon reconnaissance Psi.
En 2017, il a été reversé dans les rangs des forces de la mission des Nations Unies pour la stabilisation du Mali (MINUSMA) en tant que commandant de 1ère compagnie adjoint au bataillon 425 de kidal (Minusma Mali). Il termina avec brio sa mission et regagne le pays le 20 janvier 2019.
Après son retour à N’Djamena, Il a été nommé commandant de compagnie 1er titulaire par décret au 4ème régiment de reconnaissance du groupement antiterroriste.
Il a ensuite été désigné comme commandant de bataillon du Psi pour la mission du Lac où il a perdu la vie suite à l'explosion d'un IED posé par des présumés combattants de Boko Haram.
Cet officier quittait Kaga Kindjiria à bord de son véhicule pour se rendre à Nguiguimi. Il devait escorter des étudiants tchadiens en provenance du Burkina Faso qui ont transité par le Niger via le Lac Tchad.
Le commandant de bataillon du groupement anti-terroriste, Mahamat Galmaye Wordougou, a accepté de sacrifier sa propre vie pour sauver la vie des étudiants afin de les mettre à l’abri de toute éventuelle attaque de Boko Haram.
Les militaires tchadiens appartenant au corps d’élite anti-terroriste ont l’habitude de ramener les étudiants en provenance d’autres pays qui transitent par le Niger pour franchir les frontières tchadiennes.
Le courage et le patriotisme de cet officier de l’armée tchadienne qui a préféré l’emblème de son pays au prix de sa vie, mérite d'être salué.
Ce martyr est décrit par ses compagnons d'armes comme téméraire, sociable, discipliné et capable de gérer une situation difficile. Il est de la 26ème promotion de l'école des officiers.
Le commandant de bataillon du groupement anti-terroriste, Mahamat Galmaye Wordougou, est lauréat de la 26ème promotion du groupement militaire interarmées.
A la fin de sa formation, il fut affecté en 2015 au groupement spécial anti-terroriste comme chef de section au bataillon reconnaissance Psi.
En 2017, il a été reversé dans les rangs des forces de la mission des Nations Unies pour la stabilisation du Mali (MINUSMA) en tant que commandant de 1ère compagnie adjoint au bataillon 425 de kidal (Minusma Mali). Il termina avec brio sa mission et regagne le pays le 20 janvier 2019.
Après son retour à N’Djamena, Il a été nommé commandant de compagnie 1er titulaire par décret au 4ème régiment de reconnaissance du groupement antiterroriste.
Il a ensuite été désigné comme commandant de bataillon du Psi pour la mission du Lac où il a perdu la vie suite à l'explosion d'un IED posé par des présumés combattants de Boko Haram.