Une éclatante visite du Roi Mohammed VI dans les provinces sahariennes : détresse et désarroi d'Alger à Raboni
Une éclatante visite du Roi Mohammed VI dans les provinces sahariennes : détresse et désarroi d'Alger à Raboni
Malgré toutes les tentatives mises en oeuvre par le voisin algérien et le polisario pour parasiter la dernière visite du Roi Mohammed VI dans les Provinces sahariennes marocaines, celle-ci a connu un franc succès et a tourné une fois encore en un plébiscite pour le Souverain marocain.
Tous ces slogans éculés du référendum, de l'appel aux boycott aux ressources naturelles en provenance des Provinces sahariennes marocaines au dossier des Droits de l'Homme mis en place par les spécialistes algériens de la désinformation n'ont eu aucun écho et ont été balayés par la totale réussite de la visite à Laayoune et Dakhla du Souverain marocain, qui lance une véritable et pérenne dynamique de développement économique et social au profit des populations locales.
Au cours de son déplacement dans les deux Provinces sahariennes marocaines, le Roi Mohammed VI a lancé de nombreux projets structurants au bénéfice de ces populations, dont le niveau de vie est, par ailleurs, bien plus supérieur que dans les autres régions du Royaume.
D'ailleurs, la presse internationale s'est faite l'écho de cette transformation sur le terrain de ces deux Provinces sahariennes marocaines en constatant de visu le flux des investissements et la dynamique créée par les projets structurants de développement durable.
Autre déconvenue pour les algéro-polisariens, la récente déclaration de la Cheffe de la diplomatie européenne, Madame Frederica Mogherini, qui, renvoyant l'euro-député espagnol, Miguel Urban, connu pour son tropisme algéro-polisarien, à ses chères études, a nettement expliqué et je la cite "aucune règle de droit international n'interdit l'inclusion du Sahara marocain dans les accords commerciaux de l'Union Européenne avec le Maroc et donc il est hors de question d'exclure les Provinces sahariennes marocaines des accords commerciaux entre l'Union Européenne et le Maroc". Cette prise de position est on ne peut plus claire.
Il donc utile de rappeler à l'Algérie et à son protégé, ainsi qu'aux soutiens de ce dernier que, s'agissant de la question du référendum, il y a lieu de recenser la population des camps de la honte de Tindouf, un scénario que rejette les responsables algériens (voir le très significatif rapport de l'Office de Lutte Anti-Fraude (OLAF) de l'Union Européenne qui met en exergue l'ampleur des détournements d'aides humanitaires opérés par le polisario au détriment des séquestrés de Tindouf).
Quoiqu'il en soit, la presse internationale a pu observer lors des deux dernières visites du Souverain marocain dans les Provinces sahariennes marocaines l'attachement des populations locales à leu Roi et à leur marocanité.
Quant au dossier du soit disant "pillage" des ressources naturelles de ces Provinces sahariennes par le Maroc, cette même presse internationale a pu saisir sur place la réalité du mensonge algéro-polisarien en prenant connaissance des réalisations et du montant de l'enveloppe budgétaire consacré au développement de ces régions sahariennes marocaines, à savoir 53 milliards de dirhams, et ce, toujours au profit des populations locales.
En conclusion, il est urgent pour les responsables algériens de s'atteler à réfléchir sur les retombées néfastes de la chute des cours du pétrole. Une chute vertigineuse du prix de l'or noir qui réduit drastiquement le pouvoir d'achat des Algériens, suspend de nombreux projets d'équipement, fait dangereusement fondre comme neige au soleil ses réserves en devises et déprécie fortement sa monnaie nationale.
Cette situation réduira considérablement la capacité des autorités algériennes à acheter la paix sociale et encore moins à verser des milliards de pétro-dollars à leurs amis pour nourrir leurs visées déstabilisatrices à l'échelle régionale.
En quelques jours, Alger, le polisario et ses soutiens ont reçu de la part des Marocains, unis de Tanger à Lagouira, et de leurs concitoyens de l'extérieur, la preuve d'un attachement indéfectible et d'un engagement sans failles de tout le peuple marocain, derrière son Roi, à défendre l'intégrité territoriale du Royaume.
Malgré toutes les tentatives mises en oeuvre par le voisin algérien et le polisario pour parasiter la dernière visite du Roi Mohammed VI dans les Provinces sahariennes marocaines, celle-ci a connu un franc succès et a tourné une fois encore en un plébiscite pour le Souverain marocain.
Tous ces slogans éculés du référendum, de l'appel aux boycott aux ressources naturelles en provenance des Provinces sahariennes marocaines au dossier des Droits de l'Homme mis en place par les spécialistes algériens de la désinformation n'ont eu aucun écho et ont été balayés par la totale réussite de la visite à Laayoune et Dakhla du Souverain marocain, qui lance une véritable et pérenne dynamique de développement économique et social au profit des populations locales.
Au cours de son déplacement dans les deux Provinces sahariennes marocaines, le Roi Mohammed VI a lancé de nombreux projets structurants au bénéfice de ces populations, dont le niveau de vie est, par ailleurs, bien plus supérieur que dans les autres régions du Royaume.
D'ailleurs, la presse internationale s'est faite l'écho de cette transformation sur le terrain de ces deux Provinces sahariennes marocaines en constatant de visu le flux des investissements et la dynamique créée par les projets structurants de développement durable.
Autre déconvenue pour les algéro-polisariens, la récente déclaration de la Cheffe de la diplomatie européenne, Madame Frederica Mogherini, qui, renvoyant l'euro-député espagnol, Miguel Urban, connu pour son tropisme algéro-polisarien, à ses chères études, a nettement expliqué et je la cite "aucune règle de droit international n'interdit l'inclusion du Sahara marocain dans les accords commerciaux de l'Union Européenne avec le Maroc et donc il est hors de question d'exclure les Provinces sahariennes marocaines des accords commerciaux entre l'Union Européenne et le Maroc". Cette prise de position est on ne peut plus claire.
Il donc utile de rappeler à l'Algérie et à son protégé, ainsi qu'aux soutiens de ce dernier que, s'agissant de la question du référendum, il y a lieu de recenser la population des camps de la honte de Tindouf, un scénario que rejette les responsables algériens (voir le très significatif rapport de l'Office de Lutte Anti-Fraude (OLAF) de l'Union Européenne qui met en exergue l'ampleur des détournements d'aides humanitaires opérés par le polisario au détriment des séquestrés de Tindouf).
Quoiqu'il en soit, la presse internationale a pu observer lors des deux dernières visites du Souverain marocain dans les Provinces sahariennes marocaines l'attachement des populations locales à leu Roi et à leur marocanité.
Quant au dossier du soit disant "pillage" des ressources naturelles de ces Provinces sahariennes par le Maroc, cette même presse internationale a pu saisir sur place la réalité du mensonge algéro-polisarien en prenant connaissance des réalisations et du montant de l'enveloppe budgétaire consacré au développement de ces régions sahariennes marocaines, à savoir 53 milliards de dirhams, et ce, toujours au profit des populations locales.
En conclusion, il est urgent pour les responsables algériens de s'atteler à réfléchir sur les retombées néfastes de la chute des cours du pétrole. Une chute vertigineuse du prix de l'or noir qui réduit drastiquement le pouvoir d'achat des Algériens, suspend de nombreux projets d'équipement, fait dangereusement fondre comme neige au soleil ses réserves en devises et déprécie fortement sa monnaie nationale.
Cette situation réduira considérablement la capacité des autorités algériennes à acheter la paix sociale et encore moins à verser des milliards de pétro-dollars à leurs amis pour nourrir leurs visées déstabilisatrices à l'échelle régionale.
En quelques jours, Alger, le polisario et ses soutiens ont reçu de la part des Marocains, unis de Tanger à Lagouira, et de leurs concitoyens de l'extérieur, la preuve d'un attachement indéfectible et d'un engagement sans failles de tout le peuple marocain, derrière son Roi, à défendre l'intégrité territoriale du Royaume.