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L’accord établissant la Zone de libre-échange continentale africaine a reçu deux nouveaux adhérents à l’occasion du 12eme sommet extraordinaire des Chefs d’Etat et de Gouvernements de l’Union africaine auquel le Président de la République Togolaise, Faure E. Gnassingbé a pris part ce dimanche 7 juillet à Niamey au Niger. Le Nigeria et le Bénin ont rejoint la dynamique instaurée depuis 16 mois et à laquelle le Togo et d’autres pays ont spontanément adhéré.
C’est en plein mandat de Faure Gnassingbé à la tête de la Conférence des Chefs d’État et de gouvernements de la CEDEAO, soit en mars 2018, que l’accord établissant la ZLEC a été institué. Présidant une zone économique très importante dans cette ouverture du marché, le Togo devait donner l’exemple. Et il l’a fait ! Avec beaucoup de célérité. Le pays figure parmi les premiers à non seulement adhérer mais aussi et surtout à ratifier et à déposer les instruments juridiques auprès de l’Union africaine.
L’histoire lui donne raison. Seul l’Érythrée est resté pour l’instant en marge de ce mouvement continental qui a déjà emballé 54 pays dont 24 ont signé et ratifié. Le siège de l’institution d’intégration économique sera installé à Accra, faisant de Lomé, la capitale la plus proche, une autre preuve de la pertinence de son positionnement géostratégique.
Ce chantier à peine achevé que le Togo se montre déjà actif ou plutôt leader sur un autre dont son le Chef de l’Etat est d’ailleurs désigné champion : le marché unique du transport aérien africain. C’est l’un des outils qui permettra d’opérationnaliser la ZLECAF. Visiblement, la réussite sera également au rendez-vous.
A noter que le sommet de Niamey a été l’occasion pour le Président Nigérien Issoufou Mahamadou désigné champion de la ZLECAF, de lancer le portail sur la surveillance des obstacles non tarifaires.
C’est en plein mandat de Faure Gnassingbé à la tête de la Conférence des Chefs d’État et de gouvernements de la CEDEAO, soit en mars 2018, que l’accord établissant la ZLEC a été institué. Présidant une zone économique très importante dans cette ouverture du marché, le Togo devait donner l’exemple. Et il l’a fait ! Avec beaucoup de célérité. Le pays figure parmi les premiers à non seulement adhérer mais aussi et surtout à ratifier et à déposer les instruments juridiques auprès de l’Union africaine.
L’histoire lui donne raison. Seul l’Érythrée est resté pour l’instant en marge de ce mouvement continental qui a déjà emballé 54 pays dont 24 ont signé et ratifié. Le siège de l’institution d’intégration économique sera installé à Accra, faisant de Lomé, la capitale la plus proche, une autre preuve de la pertinence de son positionnement géostratégique.
Ce chantier à peine achevé que le Togo se montre déjà actif ou plutôt leader sur un autre dont son le Chef de l’Etat est d’ailleurs désigné champion : le marché unique du transport aérien africain. C’est l’un des outils qui permettra d’opérationnaliser la ZLECAF. Visiblement, la réussite sera également au rendez-vous.
A noter que le sommet de Niamey a été l’occasion pour le Président Nigérien Issoufou Mahamadou désigné champion de la ZLECAF, de lancer le portail sur la surveillance des obstacles non tarifaires.