Virage à 90 degré : Alain Mabanckou de la littérature à la politique
Que dira le camerounais Achille Mbembé et d’autres intellectuels africains qui crient haro sur la françafrique de cette volonté d’un africain du 21ème siècle ? Car, quand ceux de sa trompe prennent la parole, ils parlent Afrique et monde. Ceux-là ne renferment pas, comme lui, dans le ghetto trivial de la délation. Il nous reste à constater que notre demi- compatriote saborde sa renommée et jette l’opprobre sur toute la nation congolaise.
Pour justifier sa parlotte, Alain Mabanckou affirme « les petits m’ont demandé de ne pas se taire ». Visiblement, l’écrivain mérite une place au parlement du rire animé par quelques humoristes africains.
Il appelle son compatriote de président, François Hollande, qui dirige la France, par la volonté des Français à destituer celui qui dirige le Congo, Denis Sassou N’Guesso par la volonté des Congolais. A son avis, le président Hollande, ne devrait pas le reconnaitre comme président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso. Les Ivoiriens auraient dit : « on est où là ? »
Dès à présent, tous ceux qui pouvaient encore douter de l’engagement politique de l’écrivain néo-français, se rendent à l’évidence : Mabanckou a viré à 90°, de la littérature à la politique, sans clignoter. Dans un contexte national marqué par le désir de renouveler la classe politique, personne ne devrait le lui reprocher.
Comme il a pris l’engagement de ne plus se taire, notre demi compatriote va donc dorénavant parler, parler et parler toujours dans le camp qu’il a choisi : l’opposition radicale. Il a aussi choisi son option : la déconstruction de l’image du Congo, la négation même de l’évidence, la diffamation, le mensonge, etc.
Le nouvel homme politique s’est engagé à déployer son énergie pour être reçu par le président François Hollande. Parce qu’il croit dur comme fer que « la France, choisit ou décide qui pourra être le président de la République dans tel ou tel pays », il ira certainement demander au président français d’être son parrain pour le porter au pouvoir au Congo. Ce dont tous les Congolais y compris les petits qui lui demandent de parler, se moquent éperdument.
En clair, Alain Mabanckou invite le président français à parrainer un Coup d’Etat qui le porterait au pouvoir. Car, si ce n’est pas par coup d’Etat, personne n’imagine comment l’écrivain devenu célèbre après avoir publié un roman primé par un jury dont on peut se réserver de critiquer l’objectivité, réussirait là où les Mokoko et autres Kolelas ont échoué du fait du populisme, de l’impréparation et de la méconnaissance du terrain politique, ainsi que du fait d’avoir penser qu’il suffisait pour eux d’attaquer Sassou, en l’accusant de tous les maux pour se faire élire, alors que le peuples attendait des solutions à ses problèmes quotidiens.
Dans tous les cas, ce qui est certain est que du haut de son Elysée, François Hollande bien que compatriote de Mabanckou, doit avoir des préoccupations bien plus importantes que d’aller fouiller dans la mémoire du porc-épic.
Pour justifier sa parlotte, Alain Mabanckou affirme « les petits m’ont demandé de ne pas se taire ». Visiblement, l’écrivain mérite une place au parlement du rire animé par quelques humoristes africains.
Il appelle son compatriote de président, François Hollande, qui dirige la France, par la volonté des Français à destituer celui qui dirige le Congo, Denis Sassou N’Guesso par la volonté des Congolais. A son avis, le président Hollande, ne devrait pas le reconnaitre comme président de la République du Congo, Denis Sassou N’Guesso. Les Ivoiriens auraient dit : « on est où là ? »
Dès à présent, tous ceux qui pouvaient encore douter de l’engagement politique de l’écrivain néo-français, se rendent à l’évidence : Mabanckou a viré à 90°, de la littérature à la politique, sans clignoter. Dans un contexte national marqué par le désir de renouveler la classe politique, personne ne devrait le lui reprocher.
Comme il a pris l’engagement de ne plus se taire, notre demi compatriote va donc dorénavant parler, parler et parler toujours dans le camp qu’il a choisi : l’opposition radicale. Il a aussi choisi son option : la déconstruction de l’image du Congo, la négation même de l’évidence, la diffamation, le mensonge, etc.
Le nouvel homme politique s’est engagé à déployer son énergie pour être reçu par le président François Hollande. Parce qu’il croit dur comme fer que « la France, choisit ou décide qui pourra être le président de la République dans tel ou tel pays », il ira certainement demander au président français d’être son parrain pour le porter au pouvoir au Congo. Ce dont tous les Congolais y compris les petits qui lui demandent de parler, se moquent éperdument.
En clair, Alain Mabanckou invite le président français à parrainer un Coup d’Etat qui le porterait au pouvoir. Car, si ce n’est pas par coup d’Etat, personne n’imagine comment l’écrivain devenu célèbre après avoir publié un roman primé par un jury dont on peut se réserver de critiquer l’objectivité, réussirait là où les Mokoko et autres Kolelas ont échoué du fait du populisme, de l’impréparation et de la méconnaissance du terrain politique, ainsi que du fait d’avoir penser qu’il suffisait pour eux d’attaquer Sassou, en l’accusant de tous les maux pour se faire élire, alors que le peuples attendait des solutions à ses problèmes quotidiens.
Dans tous les cas, ce qui est certain est que du haut de son Elysée, François Hollande bien que compatriote de Mabanckou, doit avoir des préoccupations bien plus importantes que d’aller fouiller dans la mémoire du porc-épic.