Illustration © Alwihda Info
Les deux journalistes arrêtés à savoir le rédacteur en chef de la radio Gaya Tcholwa de Gounou-Gaya, Anner Sabartang et le correspondant de La Voix du paysan de Doba à Nassian, Janvier Mouatangar, n'ont rien fait qui entacherait leur responsabilité sociale de journaliste, estime l'UJT. L'organisation estime que leur arrestation n'a obéit à aucune procédure administrative ou judiciaire.
Abbas Mahamoud Tahir, président de l'UJT, indique que le préfet de département de la Kabbia semble être derrière cette arrestation de Monsieur Anner Sabartang qu'il a tenu ouvertement pour responsable d'une supposée réaction publique contre un acte administratif que le préfet a reconnu avoir pris. En effet, le préfet qui croit être la cible sur les réseaux sociaux, au sujet d'un nouveau canton dont il a signé l'acte de création, a ouvertement tenu pour responsable le confrère qu'il a vivement menacé.
"Situation identique pour le confrère de Doba qui s'est senti épinglé dans un reportage réalisé. Cependant, après la forte mobilisation de la rédaction de la radio la Voix du paysan et l'implication personnelle de leur avocat, notre confrère a été libéré par la procureur de la République de Doba", informe Abbas Mahamoud Tahir.
Le bureau exécutif de l'UJT interpelle vivement les hautes autorités du pays sur ces deux cas. Il prévient le préfet de la Kabbia et le commandant de gendarmerie de Doba "qu'ils seront tenus pour coupables de tout ce qui adviendrait aux deux confrères qu'ils prennent pour cibles pour couvrir leurs forfaitures".
L'UJT prend à témoin l'opinion nationale et internationale de cette situation qui entache durement le principe de la liberté de la presse au Tchad.
Abbas Mahamoud Tahir, président de l'UJT, indique que le préfet de département de la Kabbia semble être derrière cette arrestation de Monsieur Anner Sabartang qu'il a tenu ouvertement pour responsable d'une supposée réaction publique contre un acte administratif que le préfet a reconnu avoir pris. En effet, le préfet qui croit être la cible sur les réseaux sociaux, au sujet d'un nouveau canton dont il a signé l'acte de création, a ouvertement tenu pour responsable le confrère qu'il a vivement menacé.
"Situation identique pour le confrère de Doba qui s'est senti épinglé dans un reportage réalisé. Cependant, après la forte mobilisation de la rédaction de la radio la Voix du paysan et l'implication personnelle de leur avocat, notre confrère a été libéré par la procureur de la République de Doba", informe Abbas Mahamoud Tahir.
Le bureau exécutif de l'UJT interpelle vivement les hautes autorités du pays sur ces deux cas. Il prévient le préfet de la Kabbia et le commandant de gendarmerie de Doba "qu'ils seront tenus pour coupables de tout ce qui adviendrait aux deux confrères qu'ils prennent pour cibles pour couvrir leurs forfaitures".
L'UJT prend à témoin l'opinion nationale et internationale de cette situation qui entache durement le principe de la liberté de la presse au Tchad.