Une vue de la 3ème turbine de la CEC
L’inauguration de la 3ème turbine de la CEC a donné lieu à une cérémonie placée sous l’autorité du président Denis Sassou N'Guesso et marquée par trois interventions, dont celles du représentant Afrique de l’ouest et du centre d’Eni, Guido Brusco et du ministre de l’énergie et de l’hydraulique, Serge Blaise Zoniaba.
Le représentant Afrique de l’ouest et du centre d’Eni a, notamment annoncé que la centrale électrique du Congo pourrait, à terme, se doter d'une quatrième turbine, avant d’envisager d'exporter le courant dans la sous-région.
Dans la même lancée, le ministre Serge Blaise Zonaiaba a affirmé que « l’excédent de l’électricité qui sera dégagé grâce à cette 3ème turbine pourrait être exporté vers les pays voisins où s’exprime une forte demande. Ceci n’est une étape dans le programme de la CEC », a poursuivi le ministre. La prochaine étape, a-t-il ajouté « consistera à passer au cycle combiné qui est un procédé de réutilisation des gaz chauds émis par des turbines pour chauffer des chaudières produisant la vapeur d’eau qui est injectée dans les turbines à vapeur pour générer l’électricité. Ainsi, la 3ème turbine passerait la capacité de production de la CEC de 484 à 1000 Mwt », a-t-il renchéri
Serge Blaise Zonaiaba a rappelé la nécessité de valoriser « notre potentiel hydroélectrique ». En effet, a-t-il souligné, « Si la valorisation du potentiel gazier permet l’implantation d’unité de production de l’électricité dans le délai court, la stratégie nationale en matière de l’électricité sur le moyen et sur le long terme consiste à valoriser également notre potentiel hydroélectrique, ceci en procédant aux aménagements sur des sites identifiés tels que celui de Sounda, ceux de la vallée de la Louessé, de Kouembali, de Moanga Mapita et de Cholé en coopération avec le Cameroun », a déclaré le ministre.
Tout ceci contribue à la mise en place progressive du boulevard énergétique ouvrant le « territoire national de sa pointe sud à sa pointe nord, en vue de faire du Congo un pilier du marché sous régional de l’électricité, grâce aux interconnexions dans le cadre du pool énergétique d’Afrique centrale et pour optimiser l’implantation des installations de production de l’électricité des pays membres de ce pool, selon le ministre Zoniaba.
Il sied de rappeler que la centrale électrique du Congo est rentrée en production le 28 mars 2010, avec son inauguration, le 23 novembre 2011 par le président de la République qui avait posé la première pierre des travaux de la construction de cette centrale le 19 mai 2008.
Le représentant Afrique de l’ouest et du centre d’Eni a, notamment annoncé que la centrale électrique du Congo pourrait, à terme, se doter d'une quatrième turbine, avant d’envisager d'exporter le courant dans la sous-région.
Dans la même lancée, le ministre Serge Blaise Zonaiaba a affirmé que « l’excédent de l’électricité qui sera dégagé grâce à cette 3ème turbine pourrait être exporté vers les pays voisins où s’exprime une forte demande. Ceci n’est une étape dans le programme de la CEC », a poursuivi le ministre. La prochaine étape, a-t-il ajouté « consistera à passer au cycle combiné qui est un procédé de réutilisation des gaz chauds émis par des turbines pour chauffer des chaudières produisant la vapeur d’eau qui est injectée dans les turbines à vapeur pour générer l’électricité. Ainsi, la 3ème turbine passerait la capacité de production de la CEC de 484 à 1000 Mwt », a-t-il renchéri
Serge Blaise Zonaiaba a rappelé la nécessité de valoriser « notre potentiel hydroélectrique ». En effet, a-t-il souligné, « Si la valorisation du potentiel gazier permet l’implantation d’unité de production de l’électricité dans le délai court, la stratégie nationale en matière de l’électricité sur le moyen et sur le long terme consiste à valoriser également notre potentiel hydroélectrique, ceci en procédant aux aménagements sur des sites identifiés tels que celui de Sounda, ceux de la vallée de la Louessé, de Kouembali, de Moanga Mapita et de Cholé en coopération avec le Cameroun », a déclaré le ministre.
Tout ceci contribue à la mise en place progressive du boulevard énergétique ouvrant le « territoire national de sa pointe sud à sa pointe nord, en vue de faire du Congo un pilier du marché sous régional de l’électricité, grâce aux interconnexions dans le cadre du pool énergétique d’Afrique centrale et pour optimiser l’implantation des installations de production de l’électricité des pays membres de ce pool, selon le ministre Zoniaba.
Il sied de rappeler que la centrale électrique du Congo est rentrée en production le 28 mars 2010, avec son inauguration, le 23 novembre 2011 par le président de la République qui avait posé la première pierre des travaux de la construction de cette centrale le 19 mai 2008.