Le besoin de définir une ligne de démarcation de la dictature est primordial et indispensable à tout mouvement qui lutte pour la démocratie et œuvre pour une véritable émancipation du pays. Messieurs, marquez l’histoire par vos actes. Pensez à nous dans ce que vous faites. Pensez au pays dans ce que vous entreprenez. Pensez au 80% de la population qui vie dans la pauvreté.
Par nécessité et par choix délibéré, cet essai est centré sur la question fondamentale : comment détruire une dictature sans tomber dans son piège ? Je ne suis pas compétent pour produire une analyse détaillée et des prescriptions particulier. Cependant, je souhaite que cette analyse générique puisse être utile à ceux qui, malheureusement ont aujourd’hui à faire face aux réalités d’une dictature. Ils pourront juger dans quelle mesure ces recommandations s’appliquent à leur combat de libération. C’est à eu de vérifier.
Mais avant tous, faut qu’on distingue. Il y a une différence de logique entre ceux qui luttent pour prendre le pouvoir et ceux qui cherche à changer le système totalitaire. Les premier ont besoin du pouvoir pour changer la société et les second ont besoin de changer le système pour la laisser à la société s’autodéterminer. Les premiers négocies avec la dictature leurs propres statuts et les marges d’activités qu’elle veut leurs tolérer et les derniers lui nient toute légitimité et ne lui laisse à négocier que son départ. Les premiers s’adresse à l’autorité et cherche à se conformer à ses critères et les derniers s’adressent à la société et ne se déterminent que par apport à ses intérêts.
Ainsi nous avons besoin de prendre conscience de la nature de notre situation, des contours des véritables forces en opposition et des véritables enjeux de la question démocratique dans notre pays. Le système totalitaire est plus large que les forces représentées au pouvoir. Il comprend aussi tous ceux qui considèrent leur intégration ou la reconnaissance de leurs partis et de leurs associations suffisantes à transformer une dictature en démocratie.
Pour pouvoir dépasser un système totalitaire séculaire ceux qui veulent assumer cette responsabilité ont besoin de se libérer des fixations par lesquels ils sont toujours tenus dominés. Un système d’oppression ne donne jamais de concessions que pour conforter sa position. Ces misérables concessions qui peuvent flatté notre ego de militant ne sont jamais à la mesure de nos ambitions comme ils l’aident à soigner son image et à tromper sur sa réalité. Alors que nous risquons à tout le temps d’être réduit à des impuissants accessoires de la dictature.
Une ne peut survivre aussi longtemps si elle n’été un système hautement élaboré pour affronter tous les défis de la modernité. Il serait naïf d’oublier l’énormité, l’importance et la nature des intérêts que ce système a été bâti pour les garder et les protéger de toute revendication égalitaire. La transparence et l’indépendance des institutions et la séparation des pouvoirs ne peuvent pas aussi être attendu d’un système basé sur la falsification des élections et le refus de toute véritable souveraineté populaire. Demain le régime peut établir un centre électoral national indépendant (CENI). Donc, ne vous stoppez pas juste à cette CENI mais battez-vous jusqu’à que le régime et son système soit radier. Pour vous dire que l’objectif est loin de là. Ne vous donnez pas comme objectif juste a gagné les élections mais plus se concentré a l’après élections. Il peut mettre en place une CENI juste pour les beaux yeux de la communauté internationale sans qu’à la base rien n’est fondé.
Ce n’est qu’en se déterminant clairement par apport aux véritables besoins démocratique de notre pays qu’on peut déterminer la bonne politique qui peut conduire à son émancipation. Il y a parmi vous des jeunes qui ont de l’énergie à vous apporter. Notre pays à l'image de l'Erythrée, est devenu malheureusement un pays qui se vide de sa population sous l’effet d'un régime dictatorial. Le mois d’Avril nous tient déjà et les chose ont trop duré. Il y a possibilité de tourner la page sans trop souffrir. On a envie d’en finir avec cette situation.
Vous avez déjà accompli un bon travail en tenant tête à ce régime durant ces 2 années. Il est temps d’en finir monsieur.
Messieurs, faites-en sorte que notre reconquête à nos droits soit possible. Vous êtes directement responsables du devenir du pays (Djibouti). A vous tous, le peuple lance un appel sans équivoque.
Par nécessité et par choix délibéré, cet essai est centré sur la question fondamentale : comment détruire une dictature sans tomber dans son piège ? Je ne suis pas compétent pour produire une analyse détaillée et des prescriptions particulier. Cependant, je souhaite que cette analyse générique puisse être utile à ceux qui, malheureusement ont aujourd’hui à faire face aux réalités d’une dictature. Ils pourront juger dans quelle mesure ces recommandations s’appliquent à leur combat de libération. C’est à eu de vérifier.
Mais avant tous, faut qu’on distingue. Il y a une différence de logique entre ceux qui luttent pour prendre le pouvoir et ceux qui cherche à changer le système totalitaire. Les premier ont besoin du pouvoir pour changer la société et les second ont besoin de changer le système pour la laisser à la société s’autodéterminer. Les premiers négocies avec la dictature leurs propres statuts et les marges d’activités qu’elle veut leurs tolérer et les derniers lui nient toute légitimité et ne lui laisse à négocier que son départ. Les premiers s’adresse à l’autorité et cherche à se conformer à ses critères et les derniers s’adressent à la société et ne se déterminent que par apport à ses intérêts.
Ainsi nous avons besoin de prendre conscience de la nature de notre situation, des contours des véritables forces en opposition et des véritables enjeux de la question démocratique dans notre pays. Le système totalitaire est plus large que les forces représentées au pouvoir. Il comprend aussi tous ceux qui considèrent leur intégration ou la reconnaissance de leurs partis et de leurs associations suffisantes à transformer une dictature en démocratie.
Pour pouvoir dépasser un système totalitaire séculaire ceux qui veulent assumer cette responsabilité ont besoin de se libérer des fixations par lesquels ils sont toujours tenus dominés. Un système d’oppression ne donne jamais de concessions que pour conforter sa position. Ces misérables concessions qui peuvent flatté notre ego de militant ne sont jamais à la mesure de nos ambitions comme ils l’aident à soigner son image et à tromper sur sa réalité. Alors que nous risquons à tout le temps d’être réduit à des impuissants accessoires de la dictature.
Une ne peut survivre aussi longtemps si elle n’été un système hautement élaboré pour affronter tous les défis de la modernité. Il serait naïf d’oublier l’énormité, l’importance et la nature des intérêts que ce système a été bâti pour les garder et les protéger de toute revendication égalitaire. La transparence et l’indépendance des institutions et la séparation des pouvoirs ne peuvent pas aussi être attendu d’un système basé sur la falsification des élections et le refus de toute véritable souveraineté populaire. Demain le régime peut établir un centre électoral national indépendant (CENI). Donc, ne vous stoppez pas juste à cette CENI mais battez-vous jusqu’à que le régime et son système soit radier. Pour vous dire que l’objectif est loin de là. Ne vous donnez pas comme objectif juste a gagné les élections mais plus se concentré a l’après élections. Il peut mettre en place une CENI juste pour les beaux yeux de la communauté internationale sans qu’à la base rien n’est fondé.
Ce n’est qu’en se déterminant clairement par apport aux véritables besoins démocratique de notre pays qu’on peut déterminer la bonne politique qui peut conduire à son émancipation. Il y a parmi vous des jeunes qui ont de l’énergie à vous apporter. Notre pays à l'image de l'Erythrée, est devenu malheureusement un pays qui se vide de sa population sous l’effet d'un régime dictatorial. Le mois d’Avril nous tient déjà et les chose ont trop duré. Il y a possibilité de tourner la page sans trop souffrir. On a envie d’en finir avec cette situation.
Vous avez déjà accompli un bon travail en tenant tête à ce régime durant ces 2 années. Il est temps d’en finir monsieur.
Messieurs, faites-en sorte que notre reconquête à nos droits soit possible. Vous êtes directement responsables du devenir du pays (Djibouti). A vous tous, le peuple lance un appel sans équivoque.