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ASECNA : Après plus de 50 ans d’expériences le chemin parcouru par l’Agence reste obscur
Par Mawa Wa Bangoul
Il suffirait simplement de dire qu’après plus de 50 ans d’expériences le chemin parcouru par l’Agence reste obscur. Nonobstant les performances mêmes constatées des imperfections perdurent et restent au sein de l’Agence. C’est ce qui doit appeler les responsables face à ces insuffisances à faire davantage des efforts pour construire maintenant l’avenir de leur institution. Car l’environnement du transport aérien même laisse à désirer. Ça veut dire que ce qui prévalait au moment de la création de l’Agence n’est plus le même. Le contexte actuel est déjoué et caractérisé par des disparités économiques et technologiques assez très fragiles. Le domaine del’aviation civile en particulier subit d’énormes mutations déterminées par des évolutions tous azimuts ainsi que des attentes diversifiées.
Cependant en tenant compte de ces réalités, les dirigeants de cette Agence doivent s’interroger en permanence sur la question de la gestion de leur organisation si elle est en adéquation avec des normes pratiques recommandées par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI). Entre autres, il s’agit de l’adaptation de leur Organisation à leurs réalités c’est dire des activités essentielles, la mise à disposition d’un personnel qualifié et compétent, des taux de disponibilité acceptables de leurs équipements aussi que de procédures conformes.
Pour le ministre des infrastructures et des transports Adoum Younousmi, qui a ouvert les travaux de la 120èmeréunion du Conseil d’administration de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) qui s’est tenue pour la première fois du genre au Tchad du 6 au 9 juillet dernier, « les conclusions et les décisions concrètes prises auront de répercussions positives sur l’Agence ». La mission première de l’Agence a été située. Elle est de fournir des services répondant aux attentes des usagers dans le domaine de la navigation aérienne.
Ce qui signifie que c’est depuis le choix de nouveaux responsables de l’Agence notamment les sieurs Jean-François Thibault et Amadou Ousmane Guitteye respectivement président du conseil d’administration et directeur général de ladite institution que l’agence semble rentrée dans une nouvelle ère. Le souhait le plus ardent est d’adjoindre toute l’équipe des administrateurs à ces imminents responsables afin de former une équipe cohérente, forte et complémentaire. L’on pense bien qu’à ce prix seulement que cette équipe pilotera l’ensemble de la dynamisation de l’Agence.
Younousmi encourage les navigateurs à faire preuve de leurs travaux devant faire l’objet du rapport afin de le soumettre à la réunion du Comité des ministres en charge des infrastructures et des transports de la zone ASECNA.
Lors des travaux, les grandes dates de l’histoire de l’ASECNA et l’essentiel de la convention de Dakar révisée, adoptée à Ouadougou au Burkina-Faso et signée à Libreville en République congolaise ont été présentées. Les ressources financières de l’institution et ses atouts n’étaient pas du reste.
Les ministres de tutelle ont au cours de leur 53ème réunion adopté le rapport des travaux des experts soumis à leur approbation.
Dans son mot de circonstance, le Premier ministre Emmanuel Nadingar a souligné que, face à la conjecture actuelle, son pays a entrepris une action d’envergure dans le domaine de transport aérien. Selon lui, ces actions sont concrétisées par la construction des aéroports afin de répondre aux normes internationales. L’on peut citer entre autres celui de Moundou, d’Abéché, d’Ati, de Faya et de Sarh. De son avis ce secteur constitue le développement socioéconomique non négligeable. L’honneur a été fait au pays de Toumaï de prendre le relais de la présidence de l’agence.
Cependant en tenant compte de ces réalités, les dirigeants de cette Agence doivent s’interroger en permanence sur la question de la gestion de leur organisation si elle est en adéquation avec des normes pratiques recommandées par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI). Entre autres, il s’agit de l’adaptation de leur Organisation à leurs réalités c’est dire des activités essentielles, la mise à disposition d’un personnel qualifié et compétent, des taux de disponibilité acceptables de leurs équipements aussi que de procédures conformes.
Pour le ministre des infrastructures et des transports Adoum Younousmi, qui a ouvert les travaux de la 120èmeréunion du Conseil d’administration de l’Agence pour la Sécurité de la Navigation Aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA) qui s’est tenue pour la première fois du genre au Tchad du 6 au 9 juillet dernier, « les conclusions et les décisions concrètes prises auront de répercussions positives sur l’Agence ». La mission première de l’Agence a été située. Elle est de fournir des services répondant aux attentes des usagers dans le domaine de la navigation aérienne.
Ce qui signifie que c’est depuis le choix de nouveaux responsables de l’Agence notamment les sieurs Jean-François Thibault et Amadou Ousmane Guitteye respectivement président du conseil d’administration et directeur général de ladite institution que l’agence semble rentrée dans une nouvelle ère. Le souhait le plus ardent est d’adjoindre toute l’équipe des administrateurs à ces imminents responsables afin de former une équipe cohérente, forte et complémentaire. L’on pense bien qu’à ce prix seulement que cette équipe pilotera l’ensemble de la dynamisation de l’Agence.
Younousmi encourage les navigateurs à faire preuve de leurs travaux devant faire l’objet du rapport afin de le soumettre à la réunion du Comité des ministres en charge des infrastructures et des transports de la zone ASECNA.
Lors des travaux, les grandes dates de l’histoire de l’ASECNA et l’essentiel de la convention de Dakar révisée, adoptée à Ouadougou au Burkina-Faso et signée à Libreville en République congolaise ont été présentées. Les ressources financières de l’institution et ses atouts n’étaient pas du reste.
Les ministres de tutelle ont au cours de leur 53ème réunion adopté le rapport des travaux des experts soumis à leur approbation.
Dans son mot de circonstance, le Premier ministre Emmanuel Nadingar a souligné que, face à la conjecture actuelle, son pays a entrepris une action d’envergure dans le domaine de transport aérien. Selon lui, ces actions sont concrétisées par la construction des aéroports afin de répondre aux normes internationales. L’on peut citer entre autres celui de Moundou, d’Abéché, d’Ati, de Faya et de Sarh. De son avis ce secteur constitue le développement socioéconomique non négligeable. L’honneur a été fait au pays de Toumaï de prendre le relais de la présidence de l’agence.
